mardi 19 juillet 2011

Reponse du Ministre de la Justice

Message body

Dear Mr. Malthus:

The Office of the Prime Minister has forwarded to me a copy of your correspondence concerning the impact of media attention on an accused person’s right to a fair trial.  I regret the delay in responding.

As Minister of Justice and Attorney General of Canada, I am mandated to provide legal advice only to the federal government.  I hope you will understand that, for this reason, I cannot comment on a specific case or a specific decision made by the courts.  I can, however, provide you with some general information.

One of the challenges of formulating legislative reforms to protect the privacy of accused persons is that these reforms must also respect the open court principle.  Public access to our court system fosters public confidence in the integrity of the justice system.  In addition to ensuring a fair trial, there is also a public interest in protecting the freedom of the press to gather and disseminate information.  This principle is given constitutional protection through subsection 2(b) of the Canadian Charter of Rights and Freedoms.  As you may be aware, all legislative reform must be consistent with the Charter; thus, with respect to the publication of the names of accused persons, a balance must be struck between the public’s right to know and the privacy interests of the accused.

The Criminal Code currently includes several exceptions to the open court principle to facilitate victims’ or witnesses’ participation, to protect privacy, or to protect the rights of the accused to a fair trial.  The Code also grants trial judges the discretion to control proceedings in their courtrooms, relying on their common law jurisdiction, including the discretion to impose publication bans on their rulings, on particular evidence, or to exclude members of the public.  An accused person or the prosecutor may also apply to change the location of a trial where such a move is necessary to ensure that the accused has a fair trial with an impartial jury. 

Additionally, should any member of the public make death threats or commit other criminal acts against a person who is charged with an offence, they may be subject to prosecution for their actions. 

I recognize the seriousness of the concerns you raise and have shared them with departmental officials.  However, it is my view that the protections and flexibility of the current law provide an appropriate balance between protecting the accused from prejudicial inferences about guilt or innocence and the public interest in the media’s right to gather and disseminate news. 

I appreciate having had your comments brought to my attention.

Yours truly,

The Honourable Rob Nicholson

lundi 4 juillet 2011

Finalement! Une liste nommant les fausses accusatrices

   C'était inévitable- avec la montée flamboyante de femmes déposant contre les hommes de fausses accusations en cours et le dommage considérable, parfois même irréparable, qu'engendrent ces mensonges, le mouvement masculiste internationale a décidé de contre-attaquer en créant un site internet où il possible de NOMMER et IDENTIFIER (photo) ces criminelles.
  Le site se nomme register-her.com et recele déjà au-delà de 250 entrées.

http://register-her.com/index.php?title=Main_Page

Dominic Strauss-Khan- un homme parmis tant de milliers
  Afin de s'assurer que le mouvement masculiste mondial ne sombre pas dans l'abysse féministe du name-and-shame et de la condamnation sans preuve aucune, seules les submissions accompagnées de documentation solide (articles de journaux, clip de nouvelle, rapports de cours, etc...) seront ultimement publiées.
    La nature des fausses accusations n'a aucune importance. Que ce soit de la violence conjugale, des accusations d'aggression sexuelle, de viol, de pédophilie ou quoi que ce soit d'autre- si une femme ment en court et accuse faussement un homme de quel que crime que ce soit (et que vous possédiez la documentation le prouvant) elle est automatiquement éligible à cette liste.
  Quoique le site soit anglophone de nature, tous les hommes du globe sont invités à y contribuer. Plusieurs entrées canadiennes y sont d'ailleurs loggées car le Canada, c'est bien connu, est un havre de misandrie et ne fait jamais rien, ou si peu, contre ces femmes qui mentent sciement, inventent des crimes et ruinent la vie d'hommes innocents, comme ce fut dernièrement le cas avec Claude Bilodeau -le célèbre "monstre de St-Eloi'
Toujours aucune accusation déposée contre la femme qui a faussement accusé et inventé de toute piece une sordide histoire de viol contre Claude Bilodeau

   L'avantage incontestable de cette liste est que, dorénavant, ces menteuses et criminelles auront une empreinte internet qui les suivra jusqu'à la fin de leurs jours. Googler leur nom révèlera à tout employeur ou copain ou voisin potentiel la véritable nature de ces monstres et leur permettra d'agir en conséquences. Puisque les hommes ne peuvent *absolument* pas compter sur le système judiciaire pour sévir contre la diffamation systémique et le parjure féminin, nous pouvons au moins compter sur nous-mêmes et se tenir les coudes en publiant leur nom et leur photo ainsi qu'une description de leur criminalité.
  N'oubliez surtout pas qu'il est ABSOLUMENT ESSENTIEL de documenter les faits reprochés, autant par souci d'intégrité que pour des questions légales.
   Il existe aussi une autre section répertoriant les criminelles (tueuses, violeuses, pédophiles, etc...) ayant échappée à une condamnation par un quelconque tour de pussy-pass    genre: syndrome de la femme battue sans qu'aucune preuve formelle ait été déposée à cet effet.