samedi 29 janvier 2011

Comment vendre de la sauceV-H Facile! Insultez et maltraitez l'homme

http://www.atouteslessauces.ca/videos/a-toutes-les-sauces-1/

  Pour faire suite à ce je disais précédemment, nous sommes continuellement bombardés de messages et d'images d'hommes humiliés, violentés et abaissés dans les pubs. Il y en a tant, en fait, que c'est maintenant la norme.
  Dans leur nouvelle campagne publicitaire, les sauces V-H ouvrent toutes vannes de la misandrie et multiplient  les stéréotypes dégradants. Incompétent, maladroit, tête-en-l'air, mauvais cuisinier, mauvais père (ne connait pas son fils, ses gouts etc...); mauvais mécanicien, Randy est le nouveau porte parole de V-H.
  On ne se gênera pas dans cette série de webisodes de le violenter (brulures aux testicules, aux autres parties du corps,  le faire tomber du toit, le faire jeter manu militari d'un restaurant, se cogner, etc...) et aucun niveau d'incompétence ne sera épargné.
  Bien entendu, maman elle sait tout, ne se trompe jamais, connait son enfant sur le bout des doigts, est un chef émérite, etc...
  J'ai eu le malheur d'écouter quelques épisodes de Kitchen Nightmares sur le food Network (en ligne) et le condensé violent/imcompétent de ces webisodes était ma seule pitance publicitaire.
   Si vous aller sur le site ci-joint, vous remarquerez qu'il nous est possible de laisser des commentairres sous chaque épisodes.
  L'argent parle fort comme on dit alors si V-H recoit assez de commentaires désobligeant, peut-être ré-ajusteront-il leur tir?
  On peut toujours espérer...
  En attendant, voilà bien une gamme de produits qui mérite le boycott des hommes.

mardi 25 janvier 2011

Polytechnique- un film à voir?

Non.
 La création de ce film me laisse perplexe, autant pour son contenu que pour son contenant.
 Oui, les évènements de la Polytechnique ont marqués le Québec au fer rouge mais que nous apporte le film de Denis Villeneuve?
  Ce n'est pas un documentaire mais une oeuvre de fiction puisque le personnage incarnée par Karine Vanasse n'existe pas, historiquement. Elle est, de l'avis même des réalisateurs, "une fusion de plusieurs personnes- un hybride". Les conversations sont inventées de toutes pièces`et la plupart des scènes aussi. Donc, ce film ne recèle aucune valeur historique ou documentaire car nous n'avons aucun moyen de savoir où commence le fait réel et où la créativité lui succède.
   D'autre part, ce film est d'une lenteur insipide. Pour le dire simplement: il ne s'y passe rien. La seule scène d'action du film- la tuerie à proprement parler- à été traitée avec une pudeur fort compréhensible et bien qu'il soit louable que la réalisation se soit tenue loin de scènes de gros ketchup hollywoodien avec de la cervelle partout, cette pudeur quasi Victorienne édente le seul moment fort du film,  l'atrophiant de son potentiel dramatique. Qu'on ait décidé de tourner en noir et blanc, par sobriété, n'aide en rien   l'oeuvre dans son ensemble.
  Si au moins on nous avait ouvert une fenêtre sur la psychologie de cet être étrange et méconnu qu'était Marc Lépine- mais non. Le personnage demeure plus souvent qu'autrement silencieux, sombre. On ne comprends rien de ses motivations, du cheminement de sa psychose- on préfère nous le montrer faire la vaisselle, s'excuser à sa mère. Hormis pour (ce qu'on croit être-encore une fois, aucun moyen de savoir) un extrait des notes de lui qu'on aura retrouvées où il révèle son dédain pour certains mythes féministes, le spectateur quitte ce film avec autant, sinon plus, de points d'interrogation au sujet de Marc Lépine qu'avant le visionnement.
 Personnages inventés, valeur documentaire incertaine, lenteur, moments forts tamisés, description psychologique inexistante du personnage central: on se demande bien qu'elle était le but recherché par l'équipe en faisant ce film.
   Pour avoir sondé mon entourage (amis, famille, collègues) et leur avoir posé la question: allez-vous voir ce film? une seule personne a répondu par l'affirmative et encore, seulement parcequ'il connaissait personnellement l'équipe technique et voulait pouvoir offrir à ses amis un avis honnête sur leur travail. Personne d'autre n'avait le moindre intérêt pour ce film. Les rares à avoir payé leur ticket (flop monumental en salle) quittaient souvent avant la fin ou s'endormaient, tout simplement!
  La question se pose donc: pourquoi avoir fait un film ennuyant, inexact, superficiel et voué à l'échec commercial?
  La réponse, on s'en doute, réside dans le traitement médiatique du sujet et non du film à proprement parler.
  Grâce à lui, le moulin à propagande féministe pouvait se remettre en marche. Les média possédaient l'excuse parfaite pour nous assommer de nouveau avec "la guerre contre les femmes", "la violence contre les femmes"; pointer d'un doigt accusateur l'antiféminisme et nous associer à Marc Lépine même si, dans son ensemble quasi total, les masculistes ne pronent ni la violence (et encore moins le meurtre!) ni la discrimination.
  A mon sens, ce film ne recèle qu'une seule valeur: celle de démontrer à quel point nos média de masse, Radio-Canada bon premier, sont complices de l'agenda féministe et de la perpétration des mythes qui le définissent.

lundi 24 janvier 2011

Comment créer un mythe et terrifier des millions de femmes

http://www.uofaweb.ualberta.ca/SAC/pdfs/Date%20Rape%20Drugs%202009.pdf

  Cette "étude" canadienne de l'Université d'Alberta illustre bien  la mécanique mythomane des féministes. On y révèle que 54% des assauts sexuels incluent la célèbre drogue du viol. Si, comme le veut une enquête de statistique Canada 51% des canadiennes ont étés victimes de viol, un petit calcul nous indique qu'au Québec, donc, des centaines de milliers de femmes auraient été violées via la drogue du viol.
  Une hécatombe, quoi! Pas étonnant, alors, que les femmes tremblent à l'idée d'abandonner leur drink dans un bar ou même le perdre des yeux ne fut-ce qu'un moment.
  Or, et c'est là où la mythomanie manipulatrice apparait au grand jour, il n'existe pas au Québec un seul cas répertorié d'assaut sexuel incluant la drogue du viol!!!
 Pas un seul!
  Le journal 24hrs publiait dernièrement en gros caractères bien gras DEUX FEMMES VICTIMES DE LA DROGUE DU VIOL mais, en lisant l'article, on s'appercevait qu'il n'en était rien (les femmes ne furent pas violées)  aucune analyse n'identifiait le produit qui les avait se faire sentir mal et, qu'effectivement, il était impossible au journaliste de trouver un seul cas de viol via cette drogue.
   Et le Québec n'est pas "spécial" ou "privilègié" en cette matière. Le même scénario se répète en Angleterre, en Australie, aux Etats-Unis où, malgré l'hystérie collective, il est très difficile voire impossible de cibler des victimes réelles de cette drogue.
   On s'invente des assauts sexuels crapuleux, on instille la crainte et la peur de l'homme et on encense des comportements paranoiaques. Tout pour envenimer les relations hommes-femmes.
  Mais lorsqu'on analyse les faits; lorsqu'on repousse la propagande féministe (médiatique et gouvernementale), qu'on laisse retomber la poussière hystérique, il n'y a rien, ou si peu.
  Mesdames, vous pouvez abandonner votre verre pour aller aux toilettes. Le pire qui pourrait lui arriver, c'est que quelqu'un le boive à votre place.
 

Honte de masse

  Campagne publicitaire australienne 2010. Ici on assume qu`aucun homme n'a la fibre morale nécessaire pour ne pas se livrer à des actes de brutalité contre les femmes. Nous devrions tous promettre dene pas se comporter en monstre.
 Imaginez un moment si un groupe masculiste faisait une campagne similaire où l'on demanderait aux femmes de promettre publiquement de ne pas battre leurs enfants, de ne pas les torturer ou les tuer. Ca serait l`hys-té-rie!
  Une autre bonne raison d'éteindre sa télévision!

dimanche 23 janvier 2011

Éteindre sa télé- un premier pas vers la sérénité

   

     J'ai éteint ma télévision pour la dernière fois il y à un an. Je n'en pouvais tout simplement plus de me faire constemment bombarder d'images de violence envers les hommes, de campagnes publicitaires haineuses, de journalistes misandres à peine capables de dissimuler leur dédain pour l'homme ; écoeuré  d'un contenu qui véhicule, dans son ensemble, la quasi totalité des mythes et des mensonges féministes.
  TVA, RDI, Radio Canada, CBC, CTV, ABC, CBS, FOX- tous pareils. Si il est vrai que notre télévision est le miroir de la société, alors il ne peut faire aucun doute que notre société nous déteste.
   La guerre ouverte est déclarée dans la plupart des commerciaux. Aéro nous dit que "les hommes ne comprennent rien" (à l'amour); Kotex nous indique que la femme est "biologiquement supérieure"; Stride nous gifle, nous frappe, nous projette au sol ou nous attaque aux testicules (voir vidéo); V-8 s'est fait toute une ligne de commerciaux où l'homme est aggressé physiquement pour ne pas avoir mangé ses légumes; Pampers crache litéralement sur les pères avec leur slogan "Peut-être papa aussi devrait-il porter des Pampers!"; Avéo nous montre une femme jetant un coursier dans sa valise pour usage sexuel ultérieur(!!!); les culottes d'incontinence Depends nous disent: "La femme contrôle le monde- l'homme n'est qu'un passager"; the Humane Society nous associe à des chiens en nous faisant reniffler le cul d'un cabot- encore et encore, aucune bassesse, violence, slogan sexiste, image de bouffon, d'incompétent, de mauvais parent, de crétin ou d'animal n'est trop grossière ou outrancière pour nous dépeindre.
      Et que dire de notre bon gouvernement qui pond, année après année, la même cuvée d'hommes aux yeux exhorbités, le même message unidirectionnel où nous sommes les pires  brutes et les femmes, nos éternelles victimes.
  Ah! Ce que j'aimerais un jour voir le commercial dépeignant Hélène (encore elle!) qui essaya de m'enfoncer une cigarette dans l'oeil lorsque je l'ai quitté ou Louise (femme forte) qui me giflait à tour de bras en public quand quelque chose ne faisait pas son affaire. Ou Marie-Christine qui me botta les testicules mieux qu'un footballeur professionel "juste pour voir si c'était vraiment efficace". Non. Ca, c'est du mythe.
  La télé est un poison pour l'homme. C'est l'outil de propagande par excellence- pas pour rien que les révolutionnaires de toutes les républiques de bananes se saisissent des postes de radio et  de télé en premier, avant même le siège du gouvernement. Difficile de ne pas intégrer un message- même totalement faux- lorsqu'il est répètée 15, 30, 45 fois par jour.
  Et si ce n'était que les commerciaux!
  Prenez RDI, tiens. Anne Marie Dusseault - la féministe d'office- y anime une émission nommée 24 heures en 60 minutes où on analyse l'actualité de la journée. Nous sommes en 2011, rappellons-le. Et que croyez-vous est un sujet "brulant d'actualité" qui défile dans la bande annonce...? Le massacre de la Polytechnique, évidement! Cette "nouvelle" est vieille de près d'un quart de siècle pour l'amour! RDI n'existait même pas à cette époque. C'est de l'actualité ca,Mme Dusseault?
   C'est d'un jaunisme effroyable. Mais c'est l'agenda féministe alors c'est bon. Tiens, justement, parlant Polytechnique et Anne-Marie Dusseault, lorsque le film du même nom est paru en salles en 2009, la madame à fait une table ronde avec la question: Polytechnique- un film à voir ou non?
  Eh ben la madame ne fut pas capable de trouver quelqu'un qui disait non. Le plateau parlait féminisme et victimisation des femmes mur-à-mur, sans la moindre opinion dissonante. Excellent film!
  Elle aurait du m'appeler.
  Mais Dusseault n'est pas une journaliste. Présenter tous les points de vue sur une question; donner autant de temps d'antenne à chacun et laisser à l'auditeur le soin de se former sa propre idée ne fait pas partie de son "professionnalisme".
  Même chose au Club des Exs.Nos trois zigotos s'arrachent la chemise dès qu'on aborde la violence contre les femme mais rient à pleines dents quand Tiger Woods se fait frapper au visage par sa femme armée d'un baton de golf. "Tout un swing, la madame!" de ricaner Jean-Pierre Charbonneau. "J'ai dit à mon mari qu'il pouvait s'attendre à la même chose si jamais..." renchérit la Fru, là.
Payés par l'Étât pour être misandres


     Même chose pour Poirier en Direct. Oh! On a lu sur les ondes mon courriel à propos des stéréotypes véhiculés à la télévision... après l'avoir amputé de toutes références à ceux qui ciblent les hommes.
  Ce n'est guère plus reluisant chez les américains. Comment pourrait-on oublier le téléthon orchestré par Diane Sawyer, l'anchorwoman de Good Morning America pour payer un bon avocat à une triple meutrière?
  Non, définitivement, la télévision n'est pas bonne pour notre sanité d'homme.
  Faites-vous un cadeau messieurs. Éteignez vos postes et migrer vers l'internet si vous devez absolument visionner un programme chéri. La plupart des grandes stations offrent leurs émissions avec un jour de décalage, 98% des commerciaux en moins. L'idéal serait évidement de migrer vers un bon bouquin, un hobby ou même une bonne bière mais bon! En cette ère télévisuelle, difficile de ne pas sombrer.
   Migrer vers l'internet et faire un grand pied de nez aux grandes chaines vous sauvera au moins 20 minutes de propagande haineuse par heure.
  C'est un très bon début. Votre ataraxie vous en remerciera.

mercredi 19 janvier 2011

Notre devoir d'hommes: gèrer notre sperme!

   `' La femme a besoin d'un homme comme un poisson rouge a besoin d'une bicyclette`'- Irina Dunn (faussement attribué à Gloria Steinhem)

   Les féministes nous ont habitués aux phrases-choc de ce genre qui, même si elles ne décrivent rien de la réalité objective, révèlent cependant des aspects intéressants de leur mythomanie- en l'occurence içi que l'homme ne sert à rien, qu'il est inutile. Nous pourrions disparaitre de la planète aujourd'hui que les femmes ne remarqueraient pas notre absence sinon que par le vide laissé derrière nous.
   J'en conviens, ce n'est certes pas la citation la plus haineuse ni la plus méprisante produite par  la psychose collective féminine mais, contrairement à d'autres plus incendiaires tel "Tout acte hétérosexuel, même consenti, constitue un viol" ( Dworkin) qui n'est considérée comme véridique que par une infime minorité d'enragées, la fable du poisson et de la bicyclette exprime quant à elle une croyance quasi universelle chez la femme moderne- même celles qui se décrivent comme non-féministe.
  Le père est inutile- la famille peut aisément se passer de lui.
  Il y avait 160,000 familles monoparentales au Québec en 1976. En 2001, ce chiffre est passé à 335, 595 et, depuis, grossi annuellement de 3 à 6%. Le quart des familles québecoises sont maintenant monoparentales- quelques 500,000 enfants, donc- et hormis les variations statistiques inévitables dans ce genre d'exercises, la grande majorité de ces enfants ne connaissent pas, ou si peu, l'homme le plus important de leur existence: leur père.

Nadja Suleman "octomom"- 14 enfants, aucun père, aucun revenu
      Pour avoir été fortement médiatisé, le cas de Nadja Suleman (photo ci-haut), une femme sans attache qui doit vivre dans le sous-sol de ses parents avec ses 14 enfants, faute de revenu, illustre bien la problématique des familles monoparentales volontairement instiguées, de la procréation assistée qui leur a donné jour et de la démence (féministe d'abord, sociétale maintenant)  qui les acclame et les valorise.
   Que dire, en effet, d'une femme qui ne veut pas d'homme dans sa vie mais oblige son vieux père de 67 à retourner sur le marché du travail pour subvenir aux besoins de ses petits-enfants; oblige sa mère de 69 ans à s'en occuper, quitte à la pousser au bord de l'épuisement, et force sa société à en défrayer les couts- que c'est là une femme forte, indépendante et libérée? Que c'est une bonne mère?
   Non, évidemment. Elle n'est rien de tout celà, non seulement parce qu'elle dépend entièrement des autres pour assurer sa subsistance et celle de sa progéniture  (support sans lequel la plupart de ses 14 enfants seraient aujourd'hui décédés) mais elle est loin d'être "une bonne mère" si on considère la qualité de vie et le destin probable que son "émancipation" réserve aux enfants et qui, pour le dire franchement, est loin d'être prometteur.
  Sur ce spoint, les statistiques sont claires: les familles sans père  sont des machines à fabriquer des délinquants et des mésadaptés.
  Le Conseil Canadien du Droit des Enfants cite ces statistiques  pour les enfants issus de foyers dont le père est absent (fatherless homes). Ils constituent:
  1. 72% des meurtriers adolescents
  2. 60% des violeurs
  3. 70% des enfants emprisonnés
  4. 2 fois plus enclins à décrocher de l'école
  5. 11 fois plus enclins à devenir violents
  6. 75% des suicides adolescents
  7. 80% des hospitalisés psychiatriques
  8. 90% des fugueurs
   (sources: FBI, US Bureau of Census, National Father Initiative)

  1. 8 fois plus enclins de faire de la prison
  2. 5 fois plus enclins au suicide
  3. 20 fois plus enclins à éprouver des problèmes de comportements
  4. 20 fois plus enclins à devenir des violeurs
  5. 32 fois plus enclins à fuguer
  6. 10 fois plus enclins à la toxicomanie et l'alcoolisme
  7. 9 fois plus enclins à décrocher de l'école
  8. 1/10 ieme enclins à obtenir des A à l'école
 (source: Institute for the Study of Civil Society- U.K.)
 
  A celà s'ajoute la réduction d'incidence de violence et d'abus sexuels commis par la mère lorsque le père est présent pour les protéger, soit par disuasion, soit en détournant vers eux la violence de la mère et je passe sous silence toutes les vertus associées à un modèle masculin présent et actif dans la famille.

    Malgré cet hécatombe statistique effarant, nos sociétés glorifient et ennoblissent ces femmes qui  traitent les hommes comme des machines à sperme tout en perpétuant  l'image qu'un tel comportement est sain, voire même préférable ou "plus évolué (sic)", à une famille traditionelle. Du même souffle, on culpabilise et juge très sévèrement les pères absents sans jamais étendre le champs de cette opprobe, cependant,  aux femmes qui ont sciemment refusé aux enfants l'accès à leur père biologique et à tous les bénifices qu'il saurait injecter dans leur vie.  

 
Les média de masse, loin de comdamner ce comportement sexiste, égoiste et toxique, mettent au contraire de l'avant leurs icones les plus populaires, tels Jaylo ou Jenifer, au service de la fable du poisson rouge et de la bicyclette, de l'homme inutile   Outre le cinéma et les publications qui multiplient ad nauseam le mythe des "femmes fortes", "courageuses" ou "indépendantes" lorsque monoparentales, l'industrie télévisuelle ne reste pas en plan et sature nos ondes- litéralement- en nous bombardant d'héroines et de commerciaux où le père est virtuellement inexistant. Si on peut comprendre les impératifs financiers qui forcent les compagnies à jouer le jeu et ne pas "brasser la cage", rien ne saurait cependant expliquer le silence assommant de nos gouvernements et de toutes ces bonnes gens du système légal qui ne jurent que par sacro-saint  "bien de l'enfant" (re-sic).
 Rien sinon que cette incapacité pathologique des féministes à différiencer le mot "père" du mot "patriarcat".

Bon. Va pour le délire idéologique féministe, sa propagande éhontée et les désastres sociaux qu'il occasionne. Mais est-il juste de rejeter le blâme entièrement vers les femmes; de les pointer d'un doigt accusateur, se faire passer pour les grands défenseurs du droit de l'enfant, outrés de ces comportements frôlant le criminel, alors que nous savons bien que rien de tout ceci n'aurait cours sans notre consentement explicite ou implicite?
  Que non!
  L'antiféministe doit se garder des pièges de la victimisation et du blâme unidirectionel si chères à nos soeurs. Le fait est que nous avons notre part de responsabilités dans cette situation et en avons une encore plus grande dans sa résolution. Certes, les femmes ont un large travail à faire sur elles-mêmes quant à leurs illusions et égoisme en cette matière mais c'est à elles de voir. Elles ont faits leur lit, qu'elles s'y couchent.
   Quant à nous, il est impératif que nous acceptions la responsabilité finale de notre fertilité ainsi que le devoir d'en être les maitres absolus. Pour ce faire, quelques comportements clé nous serviront très bien- nous, nos enfants et par le fait même, notre société en général.
  •  Ne jamais être client d'une banque de sperme.  
  •  Ne jamais accepter de servir de stud
  •  Ne jamais croire ce qui dit une femme en matière de fertilité et de contraception
  •  Toujours porter un condom
  •  Ne jamais laisser une femme acheter les condoms, les manipuler; ne jamais les laisser sans surveillance
  • Toujours s'assurer de détruire- et non seulement de disposer- d'un condom usagé 
  • S'assurer que nous souhaitons devenir père et refuser d'engendrer une grossesse si ce souhait n'est pas présent.
    
Matt Dubay a cru sa blonde lorsqu'elle l'assurait prendre la pillule.

    Les femmes ne peuvent mettre au monde des enfants sans père si nous refusons de les laisser faire. Voilà ou notre responsabilité réside. Il nous faut absolument contrôler notre sperme et nous ne pouvons faire confiance à personne d'autre que nous-mêmes en la matière.
  Je pourrais vous parlez d'Hélène (une ex) qui me conta le mensonge-cachalot par excellence pour s'assurer de sentir mon sperme couler en elle. Accident de voiture tragique, perte d'un foetus, ablation de l'utérus bref, terrain infertile, condom non-nécessaire. Avouez qu'on fait difficilement mieux! Qui oserait mettre en doute cette histoire tragique ?
  J'aurais du car ce n'était qu'un tissu de mensonges.  Madame n'aimait pas le sexe sans sperme à la fin- le sundae n'était pas suffisant , il lui fallait absolument la petite cerise dessus. Pour en avoir largement discuté avec d'autres femmes, celà fait une différence, apparement.
  Évidement, l'inévitable ne fut pas évité et Hélène se retrouva enceinte. Oups! N'eut  été d'un problème oncologique, je serais devenu le père d'un enfant que je souhaitais pas et le conjoint d'une menteuse dont que je ne voulais plus- le père absent par excellence!                                      
   Mais je n'ai pas besoin de piger dans mes souvenirs personnels pour savoir qu'une femme mentira sur ces choses si elle peut en tirer un bénéfice quelconque. Matt Dubay illustre de facon beaucoup plus publique le même scénario. Jeune homme de 25 ans à peine, bon travail, ne veut pas de famille pour l'instant. Rencontre son Hélène qui lui ment de facon similaire, cette fois à propos de la contraception. Matt traine la madame en cours lorsqu'elle donne naissance à une fille et exige des compensations monétaires et devient de ce fait le poster boy des hommes floués: le Roe vs Wade masculin. L'homme aussi doit avoir accès au Choix, argumente t-il. L'homme aussi doit avoir le droit de dire "non" à une grossesse non désirée, particulièrement lorsque cette grossesse est le résultat de mensonge, de fraude!
   Jamais un homme ne fut tant ridiculisé par le système judiciaire. On riait ouvertement de lui en cours et les commentaires  populaires n'étaient guère plus tendre.
  Le point à retenir içi (il y en a plusieurs mais restons focus): c'est aux hommes d'assumer leur fertilité et c'est à eux que revient la responsabilité finale de ne pas permettre aux femmes la création de familles où l'homme sera absent.
   Pour avoir leur progéniture et ainsi répondre aux impératifs biologiques qui les animent, les femmes mentiront, frauderont, saboteront nos condoms d'un coup d'épingle ou attendront notre sommeil profond pour ré-insérer le sperme encore chaud du condom dans la petite poubelle sur le coté du lit. Elles miauleront et cajoleront et multiplieront les promesses de junkie- n'importe quoi pour atteindre leur but.
  En tant qu'homme, il nous est difficle de comprendre la profondeur de ces pulsions maternelles. Mais si nous souhaitons enrayer le fléau de la monoparentalité vanté par l'intelligentsia féministe; si nous souhaitons des enfants sains et équilibrés et si nous souhaitons vivre notre paternité pleinement, l'assumer complètement et en tirer toutes les joies (et les tristesses) qui s'y accompagnent, nous devons être ferme et...controler notre...
                             







lundi 17 janvier 2011

Actualité- le boycottage des femmes américaines

 
 Note de Malthus: J'avais initiallement prévu de publier un texte sur les banques de sperme mais l'actualité- tout comme le fer- se (dé)bat mieux lorsque chaud!

Pour ceux qui doutent de la force du blog, ce petit dernier d`un antiféministe américain fait jaser la planète ces derniers jours. On en parle dans les journaux, à la radio et à la télévision et la blogosphère féministe est en émoi devant ce texte.
    http://boycottamericanwomen.blogspot.com/
 "Les femmes américaines ont toutes les chances de vous être infidèles, de vous divorcer, de se laisser grossir, de vous voler la moitié de vos biens via les cours de divorce; elle ne savent ni cuisiner ni nettoyer, et refuse d'avoir des enfants. De facon générale, elles sont immatures, égoistes, très arrogantes et centrées sur elles-même, irrresponsables, mentalement instables et hautement impudiques. Les comportements de la plupart des américaines sont répugnants. Quel homme intelligent, alors, voudrais en marier une?
  "Ce blog explique pourquoi je crois les américaines inférieures aux étrangères et pourquoi les hommes américains devraient boycotter les femmes américaines et ne sortir (date) ou marier que des étrangères."
 (NdMalthus: traduction libre de l'original américain) 
   Il est difficile pour l'homme international de ne pas reconnaitre sa propre gent féminine à quelque part dans ce texte. Bien sur, la stéréotypification mur-à-mur de centaines de millions de femmes est grossière et injuste et plombe quelque peu la crédibilité de l'auteur mais le cri  de cet homme, quant à lui, trouve écho dans la plupart d'entre-nous et résonne avec justesse.
   Au Québec, 50% des mariages finissent en divorce et la quasi totalité des payeurs de pensions sont masculins. Marier une québecoise s`apparente donc à une partie de roulette russe ou chaque "je le veux" stipule un tour de barillet. Click- on connait le bonheur. Pow- on perd la maison, les enfants, le patrimoine, l'automobile, ses REER , ses rêves (souvent sans la moindre faute de notre part) pour se retrouver dans un deux et demi minable, criblé de dettes et obligé de travailler comme un esclave pendant que notre "famille" se paie les pentes de ski à nos frais.
  L'homme moderne, tout comme Robert de Niro dans The Deer Hunter , joue sa vie avec le mariage. Et je n'exagère qu`à peine. Outre les possessions matérielles, les enfants et une large portion de notre pécule (présent et futur) nous savons tous pour l'avoir lu et relu que la plupart des drames familiaux - les multi-meurtres suivit d'un suicide- tirent leur source au glacier du divorce et de la séparation. Il n`y à pas que nos argents et nos enfants qui passent au broyeur lors d'un divorce- notre sanité aussi en prend souvent pour son rhume, avec les résultats désastreux qu'on connait.
  L'appel du blogueur à boycotter toutes les américaines tient compte de ces pourcentages effarants et lui, plutôt que de jouer, rejette le jeu dans son ensemble.


Une vodka pour toi si ca fait Click!

  Tout homme intelligent ferait de même, qu'il vive au Québec, aux Etats ou ailleurs. Un point pour le blogueur.
  Là où il commet sa plus grosse bévue cependant est dans cette croyance que le mariage en vaut encore la peine pour peu qu'il n'inclue pas une féministe!
   Grave erreur de raisonnement.
  D`abord, le féminisme n'est pas un problème congénital. Pour paraphraser Simone: on ne nait pas féministe- on le devient! Que notre femme vienne de la Mauritanie, de la Mongolie profonde ou des îles Mouk-Mouk, dès le moment ou nous l' invitons à vivre dans notre société; à en faire partie et à s'y intégrer, nous l'exposons à cette maladie et ce n'est qu'une question de temps avant qu'elle aussi en montre tous les symptômes.
  Elle y sera exposée au supermarché, au salon de coiffure, au spa. Elle le lira dans les journaux, le vivra dans Virginie tous les soirs à sept heures ou l'entendra dans les commerciaux. Sa voisine lui en glissera un mot, les professeures de ses enfants aussi. Partout où cette femme se tournera la propagande féministe l'attendra avec une brique et un phanal, prête à transformer cette pauvre tiers-mondiste en femme forte, indépendante et capable d'utiliser une calculatrice.
  À moins que cette dernière soit une extra-terrestre dotée d'un système immunitaire à toute épreuve, le mariage avec une étrangère ne recèle pas plus de chance de succès, en soit, que marier une super-frue militante de la FFQ.  Au mieux, un homme peut espérer gagner quelques années, le temps que Madame s'acclimate.
Nos enfants auront les yeux bleus!

   L'autre point saillant du déraisonnement est cette croyance que seules les féministes sont cupides; qu'une femme, naturellement, n'est pas le même genre d'animal que le reste de la création; qu'elle n'ira pas pour la jugulaire si elle peut en tirer un demi million, une maison et une chèque de paie à vie.
  HELLO!!!!
  Les êtres humains sont des mammifères. Comme tels, ils recèlent les mêmes programmes que tous les êtres vivants de l'Univers, la plupart étant bien confortablement enfouis dans un cerveau dit "reptilian" (comme dans serpent, lézard, crocodile...) et dont la finalité première est la gratification de soi!
   Même si madame n'adhère d'aucune façon à l'hystérie féministe militante; même si, culturellement, elle n'est pas encleinte à tenir tête à son mari, à  le blamer pour tous les torts de l'humanité, à se victimiser pour avoir commis l'acte le plus naturel au monde (avoir des enfants) et même si son système immunitaire s'avère totalement obtu aux mêmés libéraux- elle n'en demeure pas moins une primate and free money is still free money baby!
 L'occasion fait le larron dit le dicton. Et comme nos sociétés (américaine, canadienne, néo-zerlandaise, francaise, british, etc...) donnent l'opportunité aux cerveaux reptiliens des femmes de laisser libre cours à leurs instincts les plus primitifs, sans coups férir, comment diable pouvons-nous même concevoir qu'elles sauront résister à un tel buffet gratuit?!?
Et dire que tout ce que j'avais à faire c'est de prendre un avocat!
                                                                
   Notre blogueur Américain a certes frappé un grand coup, mais c'est un grand coup d'épée dans l'eau. Pour l'homme, le mariage est un piège-à-con terminal et la nationalité de notre épouse n'y change rien.  Pour peu que nous existions dans un pays où le féminisme s'est étatisé (bref, tous les pays dits "de l'ouest") il est plus simple et plus direct de mettre trois balles dans un six-shooter et de voir ce que l'avenir immédiat nous réserve.
 

dimanche 16 janvier 2011

Savoir se protéger

  Lorsqu'on prend un cours de maniement d'armes, on ne nous enseigne pas la haine des armes mais plutôt comment utiliser de facon sécuritaire un objet qui a le potentiel de nous tuer ou de nous blesser. Être antiféministe c'est essentiellement prendre un cours de maniement de société là où le féminisme s'est étatisé.
  En tant qu'homme, il est bon de toujours se rapeller que notre société nous déteste et qu'elle cherche par tous les moyens à sa disposition à nous déposséder de nos biens, nos enfants,  notre sanité,  notre argent et nos droits. Si vous n`êtes pas convaincus de cet étât de chose, alors ce blog est pour vous.
  Que ce soit à-travers des jugements comme Lola Vs Eric, ou tous les hommes devront maintenant payer leur(s) ex(s) pour avoir osé coucher avec elle(s); que ce soit par la saisie de salaire à la source même lorsque vous n'avez jamais manqué à vos responsabilitée; que ce soit par l'introduction d'une défense légale telle le Syndrome de la Femme Battue  permettant aux femmes de tuer des hommes en toute impunité; que ce soit par la discrimination positive, les pensions alimentaires à vie, le Droit au Choix auquelle seules les femmes ont accès, les centres d'aide en cas de violence domestique inexistant pour les hommes ou les campagnes gouvernementales de propagande haineuse envers nous à ce sujet; que ce soit via les millions de pillules qu'on fait absorber aux garcons pour qu'ils se tiennent tranquille à l'école, la criminalisation du moindre comportement sexuel masculin, le partage obligatoire du patrimoine même lorsque la femme n`apporte rien au moulin ou l`absence d'intervention en matière de suicide masculin-  partout où l'homme du Québec se tourne, sa société lui envoie un message d'une clarté tonitruante.
 Tu es inutile, malvenu et dépassé. Tu es une brute, un violeur ou un pédophile potentiel. Tu es un parent de deuxième ordre. Tu dois être controllé et supervisé en tout temps. Ta seule force est celle du  pourvoyeur et ton temps, ta sueur et ton travail seront mis au service des autres, contre ton gré, sans que tu puisse t'y opposer. Tu es un soldat du Patriarcat par le simple fait que tu es né avec un pénis et des testicules et celà fait de toi un être coupable!
   Notre société nous déteste. Elle nous le prouve chaque jour un peu plus. Cette haine n'est pas née d'un vacuum. Elle est directement issue du discours féministe militant, hargneux et confrontationel des années `60 qui aura mis 50 ans à s'institutionaliser et à nous transformer en citoyens de deuxième classe.
  En 2011, l'homme québecois doit apprendre à se protéger, à éviter tous les pièges que sa société lui tend et ainsi, savoir mieux vivre et plus longtemps.
  Être antiféministe est le seul comportement sain ouvert à nous.