lundi 23 janvier 2012

L'envers de la médaille

http://www.youtube.com/watch_popup?v=2ms1AcnQg40&vq=medium

  L'extrémisme, qu'il soit masculin ou féminin, ne peut pas mener l'Humanité à bon port.
  Je pourrais içi vous offrir un grand texte, plein de pensées prodondes et perspicaces sur le sujet.
  Je me conteterai de dire ceci: 
    Toute société qui traite un être humain différement de l'autre mérite d'être lapidée, au mieux, ou d'être désertée, au pire.  


Mon pays ce n'est pas un pays- c'est l'désert!


  Merci Charlotte.

jeudi 3 novembre 2011

La désacralisation du vivant au profit des femmes meurtieres

     DÉSACRALISATION??? MAIS ENCORE?

  Il faut comprendre que le terme sacré , tel que je l'utilise içi, ne recèle aucune connotation religieuse et doit être lu et comprit dans son sens laique: qui doit inspirer un respect absolu, inviolable.
  Ce n'est pas pour rien que de tous les temps et presque toutes les .cultures, le meurtre  fut considéré comme le pire crime qu'un être humain puisse commettre et celui qui mandatait les sentences les plus dures. Nos voisins  américains  empoisonnent les tueurs, les saoudiens les décapitent et les canadiens leur réservent la plus forte sentence minimum de leurs livres de lois: 25 ans fermes. Universellement, le meurtre  rencontre les pires sentences car, justement, que ce soit à l'esprit religieux ou à l'esprit athé, la vie est sacré. Pour l'un, le respect de celle-çi est un commandement divin, pour l'autre, un  impératif humaniste de justice car c'est un crime ignoble qui n'a aucune commune mesure mesure avec les autres crimes. Pour l'athé, dont je suis, la notion du sacré est d'autant plus rigide- et le meurtier d'autant plus monstrueux et redevable de nos pires sentences- car cette vie est la seule que nous aurons. Le temps qui nous est alloué ne connaitra pas d'extension au paradis, nos corps ne seront pas réincarnés dans un autre  et nous ne pouvons nous consoler de cette perte par l'idée d'un monde meilleur ou d'une âme en paix. La vie est sacré car  le meurtre est permanent et que la vie ainsi écourtée n'aura pas de deuxieme chance; car le peu de temps alloué a chacun pour aimer, rêver, découvrir, grandir, faire des enfants et participer activement à l'Univers est le seul que nous ne connaitrons jamais.   Réduire ce temps a zéro est donc l'acte le plus immoral qui soit et la seule facon de nous prouver à nous-mêmes, en tant que peuple, que c'est effectivement le cas s'exprime par la force de nos condamnations envers les meurtriers et la diligence avec laquelle nous les traquons et les traduisons en cour.
  Inversement, traiter les meurtiers mollement; les condamner comme on condamne un voleur de voiture; un fraudeur ou un vendeur de drogues déloge la vie humaine de son piédestal sacré et la plonge dans un relativisme roturier qui la met sur le même plan que des objets, des possessions et des infractions mineures aux effets temporaires (voiture, argent, ecchymoses, etc...).
  Moins on pénalise durement les meutriers; plus les sentences qu'on leur impose s'apparentent à d'autres crimes, moins sérieurx et/ou immoraux,  plus la vie humaine est désacralisée.
 
  DES STATISTIQUES QUI EN DISENT LONG

     Marie-Aimée Cliche publiait dernièrement chez Boréal un livre sur le filicide (meurtre par un parent d'un enfant de plus d'un jour et de moins de 18 ans) intitulé "Fous, ivres ou méchants"



 Cet ouvrage n'a pas tant attiré mon attention à cause de son titre exclusivement masculin et, donc, démonisateur (ne laissez pas la couverture vous induire en erreur, il n'y aura pas de folles ou de méchantes lorsque les journalistes et chroniqueurs littéraires répeterons ad nauseam le titre de l'ouvrage sur nos ondes) mais bien à cause d'une statistique qui en émerge et qui met en relief l'aspect le plus noir et le plus obscène du féminisme: la désacralisation systématique du vivant au profit des meurtieres.
   La statistique en question est la suivante. Jusqu'en 1965, la Justice avait tendence à psychiatriser  les parents filicides ( ne pas imposer les plus dures sentences aux meurtriers; les rendre criminellement irresponsables et les soigner, plutot que les punir) dans une proportion presqu'égale entre les sexes: 25% pour les hommes et 35% pour les femmes. On peut expliquer la plus grande proportion féminine par le sexisme inhérent de l'époque ou il était difficile pour juges et jurés d'accepter qu'une femme saine d'esprit puisse passer outre son "instinct maternel".
   Or, depuis la révolution féministe nous indique Mme Cliche (de 1965 a nos jours), une nouvelle tendence judiciaire s'impose avec force: on n'excuse presque plus les hommes de ce crime pour des raisons de santé mentale ( seulement 8% maintenant) mais on excuse les femmes  presque une fois sur deux quand elle commettent l'irréparable (45%).

Un des rares hommes à ne pas payer la pire sentence pour le pire crime
  Grosso modo, quand  un homme commet le pire crime, on reserre la vis du sacré, durcissons notre intransigeance et n'en excuse plus qu'un seul sur treize mais quand une femme commet le ¸même crime ignoble,  on désacralise l'existence de sa victime, relativise le crime par milles excuses et créons ainsi  une disproportion d'attitude judiciaire jamais vue dans l'histoire de notre nation.
  Cette rupture est d'autant plus inquiétante qu'elle apparait dans notre société au même moment qu'une théorie sociale qui dépeint les femmes comme des victimes permanentes et les hommes comme des brutes naturelles.
  Difficile, a prime abord, de ne pas tirer un lien causal entre les deux. Celà devient carrément impossible de ne pas blâmer le féminisme lorsqu'on constate que cette tendence à la désacralisation s'étend à tous les meurtres commis par les femmes et que des activistes féministes sont aux premières loges pour s'assurer qu'il en soit ainsi.


   LE SYNDROME DE LA FEMME BATTUE


 

En 1984, Hollywood nous présentait l'icone chérie du grand public de l'époque;  la femme la plus adorée par les hommes et enviée et copiée par les femmes- Farrah Fawcett - sous les traits de ce qui était appelé à devenir le modèle-référence de la femme battue prise dans un engrenage de circonstances et pour qui la seule issue était le meurtre de son mari. Dans ce cas-ci, l'immolation par le feu pendant qu'il dormait- d'où le titre du film The Burning Bed (le lit enflammé)
 Vous pouvez visionner le film en cliquant sur ce lien. http://www.putlocker.com/file/EF11B75C3C5E54BC
  Vous y retrouverez  les grands éléments de ce qui compose maintenant le Syndrome de la Femme Battue  - une défense légale qui permet maintenant aux femmes (et aux femmes seulement) de dénaturer le concept de légitime défense  et de l'étirer jusqu'à des circonstances ou aucun danger immédiat n'est nécessaire pour justifier l'application de force mortelle.
   
        La plupart des scientifiques sérieux qualifient la psychologie et la psychiatrie non-médicale (la psychanalyse) de sciences ironiques,  On les dits ''ironiques'' car aucune de leurs théories ne sont falsifiables et que l'ensemble de leurs ''preuves'' n'est  souvent qu'une question d'analyses et d'interprétations- de discours. C'est pourquoi il est normal et usuel d'entendre une multitude d' ''experts'' professer en cour des conclusions parfaitement contradictoires (ce qu'aucune science dure acceperait jamais) sans que personne n'ait jamais tort. Nous faisons à la psychologie et la psychanalyse  un immense honneur en les qualifiant de ''sciences'' et nous ne nous rendons pas service en  donnant à ces quasi-sciences autant de poids dans nos cours de loi. 
  C'est pourtant de ce monde de causeurs et de lecteurs de palmes qu'est issu un des plus grand laissez-passer au meurtre  jamais accepté dans notre système judiciaire: le syndrome de la femme battue.
 Voici l'application juridique de ce syndrome, tel qu'expliqué par LALOI.CA
"Pour être utilisé, un expert (lire: docteur es ironie) doit venir présenter l'état psychologique de la victime de violence physique afin que la cour puisse comprendre l'état mental de l'accusée au moment du meurtre. L'expert permet également de comprendre pourquoi la femme ainsi traitée n'a pas quittée son conjoint. Cette preuve (notez ici l'usage du mot preuve- une opinion)est primordiale puisqu'elle ouvre le recours à la légitime défense en amenant une modulation de la notion du raisonnable à la situation de l'accusée. On y explique, par exemple, les motifs qu'avaient l'accusée d'appréhender la mort ou des lésions corporelles graves ainsi que celui de la croyance de l'accusée selon laquelle elle ne pouvait se protéger qu'en recourant à la force qu'elle a utilisée.
 Le syndrome de la femme battue vient en fait changer la notion de légitime défense en l'interprétant en tenant compte de la perception que la femme battue a vis-à-vis de sa situation notamment au niveau de la notion de ce qui est raisonnable et de celle du danger immédiat.''
http://www.laloi.ca/articles/synfembattu.php


  Traduction: ce qu'une femme ressent (ses émotions, son étât d'âme!) est plus important/déterminant au moment du meurtre que les actions réelles  de sa victime. Pire encore, ce ''syndrome'' établit qu'avoir été victime de violence mineure dans le passé (ecchymoses, oeil au beurre noir etc...) suffit à justifier une force mortelle future *même lorsqu'il n'y a pas violence* 
   Par ce ''syndrome'' (terme emprunté à la médecine- une science dure- et regurgité par une science ironique, donc indémontrable) une femme peut tuer un homme endormi ou lui mettre une balle dans la tête alors qu'il n'est pas armé et a le dos tourné sans avoir à en payer le prix, comme ce fut le cas dans l'arrêt Lavallée  (lisez l'ensemble de la décision ici)
http://scc.lexum.org/en/1990/1990scr1-852/1990scr1-852.html
   Cet arrêt fut d'ailleurs acceuilli avec grande joie par les groupements féministes.

Il m'a traité de salope!
   Cette phrase du jugement est très  révélatrice de la nature hautement équivoque du SFB: "il est difficile pour une personne non professionelle (lay person) de comprendre le syndrome de la femme battue." Effectivement, il m'est très difficile de comprendre comment on puisse donner aux maitres d'une science basée sur des opinions invérifiables le pouvoir d'altérer si profondément le concept de légitime défense qui stipulait pourtant clairement (avant la poussée féministe) qu'il ne puisse exister aucun autre moyen de se soustraire à l'agression.  Angélique Lavallée, qui était effectivement victime de violence mineure (ecchymoses, oeil au beurre noir), n'avait qu'à ramasser ses affaires et partir. Rien ne la retenait. Il existait clairemement d'autres moyens de se soustraire aux aggressions de son conjoint- elle aura préférée lui mettre une balle dans la tête alors qu'il avait le dos tourné et qu'il n'était pas armé.
  Et nous avons préféré l'exonérer completement de ce meurtre et, ainsi, désacraliser plus avant la vie afin de ne pas rendre une femme responsable de ses actes.
    Je ne sais pas pour vous mais moi, dès que ma blonde devient violente, me flanque un coup de poing sur la gueule parceque je suis en retard de 10 minutes ou tente de m'écraser sa cigarette dans l'oeil quand elle est frue (cas vécu)  je ne ramasse pas un fusil pour la flinguer- je ramasse mes cliques et mes claques et JE LA LAISSE!
 C'est là un comportement normal. Tous les animaux fuient le danger... excepté la femme humaine, apparement. Et on lui pardonne le meurtre parce qu'elle n'a pas le cran d'assumer sa fuite. Plus simple de la laisser tuer (de désacraliser la vie humaine) que de lui demander d'être responsable de sa qualité de vie!

     La théorie du SFB, malgré toute sa mollesse et son invérifiabilité, n'est pas  en soi une hérésie rationelle pure et dure. Il est concevable, en effet, que dans certaines circonstances extrêmes  le meurtre apparaisse comme la seule issue possible pour se dégager d'une situation généralement violente sans que la violence soit immédiate et perceptible. Nos cours de loi, par souci de justice, devraient effectivement  garder cette possibilité ouverte mais elles devraient aussi s'assurer qu'un large éventails de preuves indiscutables et pertinentes viennent étayer cette défense, ce qui rendrait la chose rarrisime.
 Normaliser le SFB; lui oter son caractère extreme et l'offrir comme défense accessible  à quiconque aura mangée une claque sur la gueule durant sa vie n'est rien de moins qu'une désacralisation systémique de la vie masculine. Or voici les paroles prononcées lors d'un jugement (R. vs Malott) par la Juge en Chef de la Cour Suprême du Canada, Berveley McLachlin, et une autre juge: " Ne soyons pas trop restrictif dans l'identification de candidates (au SFB), Ce ne sont pas que des femmes sans recours, dépendantes  et passives. Elles sont aussi fortes, indépendantes, sures d'elles et professionelles. Mais il serait imprudent de laisser aux hommes le loisir de plaider le SHB"
   Traduction: le SFB ne doit pas simplement s'appliquer aux cas de femmes psychologiquement faibles ou dépendantes prises dans des circonstances exceptionelles mais à toutes les femmes, en tout temps. Mais ne donnons pas accès à cette défense aux hommes.
   Normalisation du meurtre; banalisation des critères et des circonstance. Désacralisation massive de la vie masculine.
  Et le pire reste à venir.

AUDI ALTERAM PARTEM  (hear the other side- écoutez l'autre version. Principe de Justice Fondamentale depuis la Rome Antique)
    Les morts ne parlent pas. C'est la leur moindre défaut ainsi que leur plus grande qualité quand on ne veut  payer le prix de leur meurtre.
  Teresa Pohchoo Craig, d'Ottawa, Ontario,  aura clairement illustré ce fait . Nous n'entendrons jamais la version des faits de Jack, tué de multiples coups de couteaux tandis qu'il dormait. Selon les aveux même  de son assassin, Jack n'a jamais abusé d'elle physiquement. Il n'a jamais frappé Térésa, ni giflé ou commis la moindre sévice physique  a  son endroit. Et pourtant-il méritait la mort parcequ'il lui manquait de respect "verbalement".
   La désacralisation de la vie prend içi un double pas vers le bas alors que le damné SFB s'auréole d'un nouveau concept : non seulement  la "victime" n'a plus besoin de craindre pour sa vie, d'être en danger ou même d'avoir été battue (comme le requiert pourtant le syndrome!!!!) pour se voir exonérée de ce qui saute aux yeux comme étant un meurtre froidement  prémédité mais la meurtriere n'est même plus tenue de prouver quoi que ce soit- sa parole suffit. Quelques supposées insultes verbales (you bitch!) suffisent a effacer 23 ans de pénitencier de sa sentence sans que la version de Jack ne soit jamais entendue!!!!
  Le SFB devient alors le Syndrome de la Femme Non Battue et la vie ne Jack devient l.équivalent d'une automobile volée, une fraude mineure, une entrée par effraction: 2 ans de penitencier pour la coupable.
  Il est important de noter que 25 représentantes de LEAF - women's Legal and Education Action Fund-  un organisme radicale de militantes féministes- pleurèrent de joie lorsque le verdict fut rendue, certaines insistant même que Térésa aurait due être complètement exonérée.
  Elle tue froidement un homme durant son sommeil de multiples coups de couteau parce qu'il était irrespectueux verbalement et ces féministes applaudissent la chose!?!
  Le seul élément positif  que je puisse ajouter à ce constat déplorable est le le gouvernement Harper à couper toutes ses subventions à  LEAF. Si ces femmes souhaitent militer pour plus de désacralisation du vivant, elles devront le faire on their own fucking dime! N'empêche que le mal est fait. Le SFB (SFNB!) est devenu l'excuse par excellence pour exonérer les meurtrières et ce cancer s'étend maintenant au-delà du meurtre et s'applique à n'importe quel crime commis par une femme. Déjà, plusieurs cas d'assauts (dont certains contre des policiers) et deux cas de fraude sont passés sous le rouleau compresseur de la pauvre femme qui n'est pas traitée avec le plus absolu respect.
 Talk about your slippery slope!
 Peut-être devrions-nous renommer  tout ca Le Syndrome de Cléopatre...?
 Je suis reine. Ce que je dis est Loi. Je SUIS la loi! Obéissez à ma voix!|

   LE DÉBUT DE LA FIN

Nos enfants ne sont pas notre propriété!
  
Elizabeth Cady Stanton- 1815-1902
"When we consider that women are treated as property, it is degrading to women that we should Treat our  children as property to be disposed of as we see fit."  Letter to Julia Ward Howe, October 16, 1873, recorded in Howe's diary at Harvard University Library
   Les féministes n'ont pas toujours étées pour l'avortement. Au début elles étaient contre, et les arguments qu'elles utilisaient ne relevaient pas du religieux mais de la logique humaniste. L'argument que soulevait la grand-mère du féminisme nord-américain dans sa lettre à Julia Ward n'était pas très étoffé mais son point central semble clair : si je ne veux pas MOI  être traitée comme un objet, une possession, comment puis-je demander le droit de traiter ma progéniture comme tel?
  Flash forward aux années '60. Le discours a complètement changé. Les femmes, qui se réclament pourtant de la la même tradition humaniste  ayant poussé Elizabeth Cady Stanton à se battre pour l'émancipation des Noirs et, ensuite, des femmes, réclament désormais le droit de tuer la l'être humain dans leur ventre comme un droit fondamental!!!
Ceci n'est pas un être humain

   En tant qu'humaniste, je me dois d'indiquer que le début de la fin- le début de la désacralisation massive du vivant- commence içi, avec cette notion féministe (et hérétique aux humanistes de bonne foi) que le droit de tuer est un droit fondamental.
   Il n'est donc pas très surprenant qu'après avoir lobbyé le droit de tuer l'innocence qui grandissait en elles, les femmes se soient mises à lobbyer pour le droit de tuer tout ce qui bouge ou, tout au moins, pour ne pas avoir à payer le prix ultime lorsqu'elles le font.
   Le fémisnisme aura certainement permit un rétablissement de certains déséquilibres sociaux- travail égal, salaire égal, accès indépendant au crédit, ouverture des opportunités professionnelles, accès libre à l'éducation supérieure, liberté sexuelle, non-conformisme aux dikats de l'Église, émancipation de la personne- bref, le féminisme aura adressé une multitude de problèmes et nous devons, en tant qu'humanistes, célébrer toutes ces réformes car elles permettent à un membre de la race humaine d'atteindre des niveaux de liberté et d'émancipation jusqu'alors hors de portée. 
  La désacralisation du vivant, cependant, ne fait pas parti de ce que nous devons célébrer du mouvement féministe. Bien au contraire. La vie humaine n'a jamais si peu value que depuis l'émancipation féminine. Elles qui ne cessent de se présenter au monde comme de permanentes victimes multiplient cependant les "droits", les "syndromes" et les discours justificateurs afin de commettre le crime le plus odieux qui soit- la destruction du peu de temps dont l'humain hérite à son apparation dans l'univers- et n'y regardent pas deux fois avant de pervertir les principes de justice les plus fondamentaux afin d'arriver à leurs fins.
  L'idée même que tuer pour s'affranchir constitue un "droit fondamental"  est une hérésie féministe qui aurait du nous mettre la puce à l'oreille quant au cheminent inévitable qu'une telle facon de penser suivrait au fil des ans et l'impact qu'elle aurait sur nos sociétés.
  Aujourd'hui, nous le constatons pleinement: la vie n'est sacrée que lorsque les hommes la détruisent. Autrement, c'est un droit, une pratique justifiable.   
  Si l'être humain moderne se cherche encore une raison d'être anti-féministe, la désacralisation du vivant devrait figurer en haut de la liste.

lundi 22 août 2011

La courbe malthusienne- une promesse d'espoir.

    Un de mes lecteurs me demandait dernièrement pourquoi j'ai choisi le nom et l'avatar de Malthus comme bannière pour mon anti-féminisme. Un autre me demandais si Malthus était mon patronyme ou un nom de plume.
   Puisque mon nom semble soulever des points d'interrogations et que les réponses sont à même de fournir des pistes de réflexion aux masculistes et aux anti-féministes, voiçi donc.
 Non, Malthus n'est pas mon vrai nom de famille. C'est le pseudonyme que j'utilise afin d'éloigner de mon quotidien la hargne sans nom que vouent aux hommes, et tout particulièrement à ceux qui les opposent, la plupart des militantes féministes. Mon univers professionnel est rempli de femmes et je ne souhaite pas le mettre en danger ou le déstabiliser parce que j'ai des opinions. C'est malheureux à dire mais ça n'en demeure pas moins vrai: hell hath no fury like a woman scorned et j'ai vu assez de coups bas, de mensonges, de fausses accusations et de campagnes de médisences féminines durant mon demi siècle d'existence pour ne pas m'y ouvrir volontairement. Publiquement, donc, je juge prudent de me taire, histoire de ne pas ruiner mon ataraxie personnelle par des rixes aussi inutiles qu'improductives.
  On n'argumente pas avec des mythomanes- on se contente de détruire leurs mythes dans l'esprit ce ceux  qui peuvent encore être rescapés. Les faits se vérifient d'eux-mêmes, il suffit simplement de les mettre à jour. Que celui qui les émet s'appelle Malthus, Amplement, Tremblay ou Tartenpion ne change rien à la donne. Au pire on m'accusera de couardise mais ce genre de guérilla émotive me laisse froid et indifférent.

 POURQUOI MALTHUS?

 Parce que 50 ans de féminisme actif m'ont convaincu que le mot clé les définissant n'est pas ''liberté'', ''égalité'' ou ''indépendance'' mais bien ressources. Derrière leurs beaux discours égalitaires et respectueux (qui ne se concrétisent jamais, d'ailleurs), la bête féministe dévoile sa soif inextinguible d'argent, l'ultime ressource de l'humanité . Transfer des avoirs masculins à travers le divorce, équité salariale, programmes sociaux, le droit de tuer leur progéniture pour ne pas souffrir financièrement, pensions à vie, pensions alimentaires sans plafond, subventions aux études, mensonges statistiques afin de s'octroyer des millions en subvention  d'aide, discrimination positive et équité professionelle mathématique- tout des revendications féministes cible l'argent et rien d'autre.

  Or Malthus en avait long à dire au sujet des ressources et de la compétition pour celles-çi, notemment que les populations grandissent  plus vite que les ressources requises pour les supporter et que, de ce fait,  l'extinction massive desdites populations sont mathématiquement prévisibles et inévitables.
  Voilà pourquoi j'ai choisis le nom de Malthus. Tout d'abord parce que je souhaite que ce nom rappelle et souligne, à chacun de mes billets,  l'aspect roturier et bassement profiteur du mouvement féministe ($$$$$$) toujours à l'affut d'une nouvelle ressource à s'approprier mais aussi parce qu'il nous prédit la chute éventuelle de cette population de femmes-ogresses à la panse plus grande que la raison.
     C'est d'ailleurs dans cet optique que j'enjoins les hommes à précipiter la chute du féminisme en se retirant consciemment  du pool de ressources. Pas de marriage, pas de co-habitation, ne payez que votre part, travaillez moins (payez moins d'impots) et vivez mieux; contrôlez votre fertilité (moyen privilégié des femmes de vous départir de vos ressources), retirez-vous des postes qui les avantages et protègent leurs intérêts (police, armée, etc...) bref- rendez les responsables au maximum des sommes de travail-ressources faramineuses sous-jacentes à l'appétit féministe et observez avec quelle vitesse ce cancer disparaitra t-il de nos vies lorsqu'elles ne pourront plus s'approprier les ressources et le travail d'autrui pour vivre leur dolce vita.

mercredi 17 août 2011

Le cancer du sein de Monsieur Raymond Johnson

Le titre est assez inusité, je l'admets, mais quoique nous ayions l'habitude d'associer le cancer du sein aux femmes, il n'en demeure pas moins que 1% de ceux qui en souffrent sont des hommes. A peine agé de 26 ans- un enfant quoi!- M Johnson fait parti de ces malheureux et nous serions en droit de croire qu'avec tous les efforts déployés ces dernières années, tant dans la prévention que dans le dépistage ou le traitement, monsieur Johnson peut espérer le meilleur et aura de très bonne chance de battre le Big C, comme dit.
  Erreur.
 Monsieur Johnson est condamné à mort.
 Pourquoi? Non pas parce qu'il est pauvre, américain, et ne peut se payer le traitement. Medicaid couvre ces frais et si, par malheur, le maigre salaire de 9$ de l'heure qui est celui de Monsieur Johnson le rend "trop riche" pour Medicaid, un autre programme (the federal breast and cervical cancer treatment act) rattrape ceux qui tombent entre les craques et couvre leurs frais de traitement.
  Monsieur Jonson se qualifie pour ce programme en tout point- excepté un: c'est un homme.
Un cancéreux qui n'a pas la cote- Raymond Jonhson
  Plus de 2,000 cas de cancer du sein masculin sont repertoriés chaque années aux Etats-Unis. Depuis 2007, seulement dans l'état de Caroline du Sud où réside Monsieur Johnson, 16 hommes ont appliqués pour une couverture d'aide et TOUS se la sont vu refusée pour la simple et unique raison qu'ils ne sont pas des femmes!  "Le cancer ne discrimine pas" rage Monsieur Johnson. "Pourquoi diable le programme d'aide discrimine t-il, lui???"
  Très bonne question Raymond! Imaginez un moment si un programme gouvernemental d'aide aux  cancéreux du poumon (plus haut taux d'incidence masculine) ne permettait EN TOUTE LETTRE que de sauver la vie des hommes. Vous voyez le bordel? Vous imaginez la tolée, les cris, les accusations de sexisme, de haine des femmes et de patriarcat institutionalisé qui fuseraient de toutes parts, et à juste titre d'ailleurs? Poser la question. c'est y répondre. Jamais une discrimination si évidente, et au coût si terrible (la mort!), ne passerait inapercue et les politiciens de tout accabit se jetteraient sur une solution comme un chien affamé sur un os bien viendeux. Pour le dire en bon québecois: you don't fuck with human lives.
  Mais non. Raymond survit grâce aux dons charitables d'organismes religieux et de centres d'entraide aux victimes du cancer. PERSONNE des faiseurs de lois, des membres du sénats ou du congrès; nul avocat ou organisme comme le ACLU ne présente ses services pro-bono pour faire casser cette loi sexiste, injuste et inhumaine. Et les média restent silencieux. Il faut creuser pour trouver cette histoire.
  Crève mon Raymond. T'es rien qu'un homme. Seules les femmes valent la peine d'être soignées.
  N'allez surtout pas croire que c'est là un ''fluke'', un abus d'administrateurs zèlés ancré sur une mauvaise rédaction de la loi qui stipule ''femme'' au lieu de ''personne''. Que non! C'est délibéré!
  Le célèbre plan actuel proposé par Barack Obama est truffé de perles similaires. Les femmes veulent une ligature des trompes? C'est gratuit. Les hommes veulent une vasectomie? Payez! Les femmes ont besoin de counselling en matière de violence domestique? C'est gratuit. Les hommes, eux, doivent payer. La pillule est gratuite pour ces dames, le condom lui suit le cours des marchés. Etc...etc... etc...
  Noir sur blanc, annexe après annexe, les textes de loi sur la réforme de la santé (américaine) stipulent qu'il existe deux types d'êtres humains: ceux que l'ont doit sauver, épauler et aider à tout prix, gratuitement, et ceux qui ne seront aider et sauver que si ils en ont les moyens!
Pas de counselling pour toi mon chou!
   Bien-sur, ça se passe chez les américains- une autre planète qui n'a rien a voir avec nous. Nous pouvons dormir sur nos deux oreilles de canadiens- JAMAIS AU GRAND JAMAIS ne se commettrais-on, nous, grands égaliataires que nous sommes, puristes plus-blanc-que-blanc de l'équité, du respect de l'individu et de la vie humaine, à de telles bassesses sexistes.
  Okay. Alors jouons un petit jeu, si vous le voulez bien. Voiçi le numéro de téléphone (Montréal) du centre de dépistage national du Québec pour le cancer du sein, le PQDCS (programme québécois de dépistage du cancer du sein qui invite LES FEMMES de 50 à 69 ans à passer une mammograpie à tous les deux ans). C'est couvert par votre carte soleil.
 514-528-2424
  N'oubliez pas de stipuler que vous êtes un homme et de me donner des nouvelles après votre tentative masculine de dépistage du cancer du sein. Mon addie est en haut, à droite ou vous pouvez simplement l'ajouter en tant que commentaire à cet article.
  Seulement chez les américains, right?

mardi 19 juillet 2011

Reponse du Ministre de la Justice

Message body

Dear Mr. Malthus:

The Office of the Prime Minister has forwarded to me a copy of your correspondence concerning the impact of media attention on an accused person’s right to a fair trial.  I regret the delay in responding.

As Minister of Justice and Attorney General of Canada, I am mandated to provide legal advice only to the federal government.  I hope you will understand that, for this reason, I cannot comment on a specific case or a specific decision made by the courts.  I can, however, provide you with some general information.

One of the challenges of formulating legislative reforms to protect the privacy of accused persons is that these reforms must also respect the open court principle.  Public access to our court system fosters public confidence in the integrity of the justice system.  In addition to ensuring a fair trial, there is also a public interest in protecting the freedom of the press to gather and disseminate information.  This principle is given constitutional protection through subsection 2(b) of the Canadian Charter of Rights and Freedoms.  As you may be aware, all legislative reform must be consistent with the Charter; thus, with respect to the publication of the names of accused persons, a balance must be struck between the public’s right to know and the privacy interests of the accused.

The Criminal Code currently includes several exceptions to the open court principle to facilitate victims’ or witnesses’ participation, to protect privacy, or to protect the rights of the accused to a fair trial.  The Code also grants trial judges the discretion to control proceedings in their courtrooms, relying on their common law jurisdiction, including the discretion to impose publication bans on their rulings, on particular evidence, or to exclude members of the public.  An accused person or the prosecutor may also apply to change the location of a trial where such a move is necessary to ensure that the accused has a fair trial with an impartial jury. 

Additionally, should any member of the public make death threats or commit other criminal acts against a person who is charged with an offence, they may be subject to prosecution for their actions. 

I recognize the seriousness of the concerns you raise and have shared them with departmental officials.  However, it is my view that the protections and flexibility of the current law provide an appropriate balance between protecting the accused from prejudicial inferences about guilt or innocence and the public interest in the media’s right to gather and disseminate news. 

I appreciate having had your comments brought to my attention.

Yours truly,

The Honourable Rob Nicholson

lundi 4 juillet 2011

Finalement! Une liste nommant les fausses accusatrices

   C'était inévitable- avec la montée flamboyante de femmes déposant contre les hommes de fausses accusations en cours et le dommage considérable, parfois même irréparable, qu'engendrent ces mensonges, le mouvement masculiste internationale a décidé de contre-attaquer en créant un site internet où il possible de NOMMER et IDENTIFIER (photo) ces criminelles.
  Le site se nomme register-her.com et recele déjà au-delà de 250 entrées.

http://register-her.com/index.php?title=Main_Page

Dominic Strauss-Khan- un homme parmis tant de milliers
  Afin de s'assurer que le mouvement masculiste mondial ne sombre pas dans l'abysse féministe du name-and-shame et de la condamnation sans preuve aucune, seules les submissions accompagnées de documentation solide (articles de journaux, clip de nouvelle, rapports de cours, etc...) seront ultimement publiées.
    La nature des fausses accusations n'a aucune importance. Que ce soit de la violence conjugale, des accusations d'aggression sexuelle, de viol, de pédophilie ou quoi que ce soit d'autre- si une femme ment en court et accuse faussement un homme de quel que crime que ce soit (et que vous possédiez la documentation le prouvant) elle est automatiquement éligible à cette liste.
  Quoique le site soit anglophone de nature, tous les hommes du globe sont invités à y contribuer. Plusieurs entrées canadiennes y sont d'ailleurs loggées car le Canada, c'est bien connu, est un havre de misandrie et ne fait jamais rien, ou si peu, contre ces femmes qui mentent sciement, inventent des crimes et ruinent la vie d'hommes innocents, comme ce fut dernièrement le cas avec Claude Bilodeau -le célèbre "monstre de St-Eloi'
Toujours aucune accusation déposée contre la femme qui a faussement accusé et inventé de toute piece une sordide histoire de viol contre Claude Bilodeau

   L'avantage incontestable de cette liste est que, dorénavant, ces menteuses et criminelles auront une empreinte internet qui les suivra jusqu'à la fin de leurs jours. Googler leur nom révèlera à tout employeur ou copain ou voisin potentiel la véritable nature de ces monstres et leur permettra d'agir en conséquences. Puisque les hommes ne peuvent *absolument* pas compter sur le système judiciaire pour sévir contre la diffamation systémique et le parjure féminin, nous pouvons au moins compter sur nous-mêmes et se tenir les coudes en publiant leur nom et leur photo ainsi qu'une description de leur criminalité.
  N'oubliez surtout pas qu'il est ABSOLUMENT ESSENTIEL de documenter les faits reprochés, autant par souci d'intégrité que pour des questions légales.
   Il existe aussi une autre section répertoriant les criminelles (tueuses, violeuses, pédophiles, etc...) ayant échappée à une condamnation par un quelconque tour de pussy-pass    genre: syndrome de la femme battue sans qu'aucune preuve formelle ait été déposée à cet effet.

mardi 7 juin 2011

mailing list du gouvernement du Canada

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 NB- Cette liste est bonne pour les prochains 4 ans et demi. Elle inclue *tous* les membres actuels du parlement canadien.

  Malthus