jeudi 3 novembre 2011

La désacralisation du vivant au profit des femmes meurtieres

     DÉSACRALISATION??? MAIS ENCORE?

  Il faut comprendre que le terme sacré , tel que je l'utilise içi, ne recèle aucune connotation religieuse et doit être lu et comprit dans son sens laique: qui doit inspirer un respect absolu, inviolable.
  Ce n'est pas pour rien que de tous les temps et presque toutes les .cultures, le meurtre  fut considéré comme le pire crime qu'un être humain puisse commettre et celui qui mandatait les sentences les plus dures. Nos voisins  américains  empoisonnent les tueurs, les saoudiens les décapitent et les canadiens leur réservent la plus forte sentence minimum de leurs livres de lois: 25 ans fermes. Universellement, le meurtre  rencontre les pires sentences car, justement, que ce soit à l'esprit religieux ou à l'esprit athé, la vie est sacré. Pour l'un, le respect de celle-çi est un commandement divin, pour l'autre, un  impératif humaniste de justice car c'est un crime ignoble qui n'a aucune commune mesure mesure avec les autres crimes. Pour l'athé, dont je suis, la notion du sacré est d'autant plus rigide- et le meurtier d'autant plus monstrueux et redevable de nos pires sentences- car cette vie est la seule que nous aurons. Le temps qui nous est alloué ne connaitra pas d'extension au paradis, nos corps ne seront pas réincarnés dans un autre  et nous ne pouvons nous consoler de cette perte par l'idée d'un monde meilleur ou d'une âme en paix. La vie est sacré car  le meurtre est permanent et que la vie ainsi écourtée n'aura pas de deuxieme chance; car le peu de temps alloué a chacun pour aimer, rêver, découvrir, grandir, faire des enfants et participer activement à l'Univers est le seul que nous ne connaitrons jamais.   Réduire ce temps a zéro est donc l'acte le plus immoral qui soit et la seule facon de nous prouver à nous-mêmes, en tant que peuple, que c'est effectivement le cas s'exprime par la force de nos condamnations envers les meurtriers et la diligence avec laquelle nous les traquons et les traduisons en cour.
  Inversement, traiter les meurtiers mollement; les condamner comme on condamne un voleur de voiture; un fraudeur ou un vendeur de drogues déloge la vie humaine de son piédestal sacré et la plonge dans un relativisme roturier qui la met sur le même plan que des objets, des possessions et des infractions mineures aux effets temporaires (voiture, argent, ecchymoses, etc...).
  Moins on pénalise durement les meutriers; plus les sentences qu'on leur impose s'apparentent à d'autres crimes, moins sérieurx et/ou immoraux,  plus la vie humaine est désacralisée.
 
  DES STATISTIQUES QUI EN DISENT LONG

     Marie-Aimée Cliche publiait dernièrement chez Boréal un livre sur le filicide (meurtre par un parent d'un enfant de plus d'un jour et de moins de 18 ans) intitulé "Fous, ivres ou méchants"



 Cet ouvrage n'a pas tant attiré mon attention à cause de son titre exclusivement masculin et, donc, démonisateur (ne laissez pas la couverture vous induire en erreur, il n'y aura pas de folles ou de méchantes lorsque les journalistes et chroniqueurs littéraires répeterons ad nauseam le titre de l'ouvrage sur nos ondes) mais bien à cause d'une statistique qui en émerge et qui met en relief l'aspect le plus noir et le plus obscène du féminisme: la désacralisation systématique du vivant au profit des meurtieres.
   La statistique en question est la suivante. Jusqu'en 1965, la Justice avait tendence à psychiatriser  les parents filicides ( ne pas imposer les plus dures sentences aux meurtriers; les rendre criminellement irresponsables et les soigner, plutot que les punir) dans une proportion presqu'égale entre les sexes: 25% pour les hommes et 35% pour les femmes. On peut expliquer la plus grande proportion féminine par le sexisme inhérent de l'époque ou il était difficile pour juges et jurés d'accepter qu'une femme saine d'esprit puisse passer outre son "instinct maternel".
   Or, depuis la révolution féministe nous indique Mme Cliche (de 1965 a nos jours), une nouvelle tendence judiciaire s'impose avec force: on n'excuse presque plus les hommes de ce crime pour des raisons de santé mentale ( seulement 8% maintenant) mais on excuse les femmes  presque une fois sur deux quand elle commettent l'irréparable (45%).

Un des rares hommes à ne pas payer la pire sentence pour le pire crime
  Grosso modo, quand  un homme commet le pire crime, on reserre la vis du sacré, durcissons notre intransigeance et n'en excuse plus qu'un seul sur treize mais quand une femme commet le ¸même crime ignoble,  on désacralise l'existence de sa victime, relativise le crime par milles excuses et créons ainsi  une disproportion d'attitude judiciaire jamais vue dans l'histoire de notre nation.
  Cette rupture est d'autant plus inquiétante qu'elle apparait dans notre société au même moment qu'une théorie sociale qui dépeint les femmes comme des victimes permanentes et les hommes comme des brutes naturelles.
  Difficile, a prime abord, de ne pas tirer un lien causal entre les deux. Celà devient carrément impossible de ne pas blâmer le féminisme lorsqu'on constate que cette tendence à la désacralisation s'étend à tous les meurtres commis par les femmes et que des activistes féministes sont aux premières loges pour s'assurer qu'il en soit ainsi.


   LE SYNDROME DE LA FEMME BATTUE


 

En 1984, Hollywood nous présentait l'icone chérie du grand public de l'époque;  la femme la plus adorée par les hommes et enviée et copiée par les femmes- Farrah Fawcett - sous les traits de ce qui était appelé à devenir le modèle-référence de la femme battue prise dans un engrenage de circonstances et pour qui la seule issue était le meurtre de son mari. Dans ce cas-ci, l'immolation par le feu pendant qu'il dormait- d'où le titre du film The Burning Bed (le lit enflammé)
 Vous pouvez visionner le film en cliquant sur ce lien. http://www.putlocker.com/file/EF11B75C3C5E54BC
  Vous y retrouverez  les grands éléments de ce qui compose maintenant le Syndrome de la Femme Battue  - une défense légale qui permet maintenant aux femmes (et aux femmes seulement) de dénaturer le concept de légitime défense  et de l'étirer jusqu'à des circonstances ou aucun danger immédiat n'est nécessaire pour justifier l'application de force mortelle.
   
        La plupart des scientifiques sérieux qualifient la psychologie et la psychiatrie non-médicale (la psychanalyse) de sciences ironiques,  On les dits ''ironiques'' car aucune de leurs théories ne sont falsifiables et que l'ensemble de leurs ''preuves'' n'est  souvent qu'une question d'analyses et d'interprétations- de discours. C'est pourquoi il est normal et usuel d'entendre une multitude d' ''experts'' professer en cour des conclusions parfaitement contradictoires (ce qu'aucune science dure acceperait jamais) sans que personne n'ait jamais tort. Nous faisons à la psychologie et la psychanalyse  un immense honneur en les qualifiant de ''sciences'' et nous ne nous rendons pas service en  donnant à ces quasi-sciences autant de poids dans nos cours de loi. 
  C'est pourtant de ce monde de causeurs et de lecteurs de palmes qu'est issu un des plus grand laissez-passer au meurtre  jamais accepté dans notre système judiciaire: le syndrome de la femme battue.
 Voici l'application juridique de ce syndrome, tel qu'expliqué par LALOI.CA
"Pour être utilisé, un expert (lire: docteur es ironie) doit venir présenter l'état psychologique de la victime de violence physique afin que la cour puisse comprendre l'état mental de l'accusée au moment du meurtre. L'expert permet également de comprendre pourquoi la femme ainsi traitée n'a pas quittée son conjoint. Cette preuve (notez ici l'usage du mot preuve- une opinion)est primordiale puisqu'elle ouvre le recours à la légitime défense en amenant une modulation de la notion du raisonnable à la situation de l'accusée. On y explique, par exemple, les motifs qu'avaient l'accusée d'appréhender la mort ou des lésions corporelles graves ainsi que celui de la croyance de l'accusée selon laquelle elle ne pouvait se protéger qu'en recourant à la force qu'elle a utilisée.
 Le syndrome de la femme battue vient en fait changer la notion de légitime défense en l'interprétant en tenant compte de la perception que la femme battue a vis-à-vis de sa situation notamment au niveau de la notion de ce qui est raisonnable et de celle du danger immédiat.''
http://www.laloi.ca/articles/synfembattu.php


  Traduction: ce qu'une femme ressent (ses émotions, son étât d'âme!) est plus important/déterminant au moment du meurtre que les actions réelles  de sa victime. Pire encore, ce ''syndrome'' établit qu'avoir été victime de violence mineure dans le passé (ecchymoses, oeil au beurre noir etc...) suffit à justifier une force mortelle future *même lorsqu'il n'y a pas violence* 
   Par ce ''syndrome'' (terme emprunté à la médecine- une science dure- et regurgité par une science ironique, donc indémontrable) une femme peut tuer un homme endormi ou lui mettre une balle dans la tête alors qu'il n'est pas armé et a le dos tourné sans avoir à en payer le prix, comme ce fut le cas dans l'arrêt Lavallée  (lisez l'ensemble de la décision ici)
http://scc.lexum.org/en/1990/1990scr1-852/1990scr1-852.html
   Cet arrêt fut d'ailleurs acceuilli avec grande joie par les groupements féministes.

Il m'a traité de salope!
   Cette phrase du jugement est très  révélatrice de la nature hautement équivoque du SFB: "il est difficile pour une personne non professionelle (lay person) de comprendre le syndrome de la femme battue." Effectivement, il m'est très difficile de comprendre comment on puisse donner aux maitres d'une science basée sur des opinions invérifiables le pouvoir d'altérer si profondément le concept de légitime défense qui stipulait pourtant clairement (avant la poussée féministe) qu'il ne puisse exister aucun autre moyen de se soustraire à l'agression.  Angélique Lavallée, qui était effectivement victime de violence mineure (ecchymoses, oeil au beurre noir), n'avait qu'à ramasser ses affaires et partir. Rien ne la retenait. Il existait clairemement d'autres moyens de se soustraire aux aggressions de son conjoint- elle aura préférée lui mettre une balle dans la tête alors qu'il avait le dos tourné et qu'il n'était pas armé.
  Et nous avons préféré l'exonérer completement de ce meurtre et, ainsi, désacraliser plus avant la vie afin de ne pas rendre une femme responsable de ses actes.
    Je ne sais pas pour vous mais moi, dès que ma blonde devient violente, me flanque un coup de poing sur la gueule parceque je suis en retard de 10 minutes ou tente de m'écraser sa cigarette dans l'oeil quand elle est frue (cas vécu)  je ne ramasse pas un fusil pour la flinguer- je ramasse mes cliques et mes claques et JE LA LAISSE!
 C'est là un comportement normal. Tous les animaux fuient le danger... excepté la femme humaine, apparement. Et on lui pardonne le meurtre parce qu'elle n'a pas le cran d'assumer sa fuite. Plus simple de la laisser tuer (de désacraliser la vie humaine) que de lui demander d'être responsable de sa qualité de vie!

     La théorie du SFB, malgré toute sa mollesse et son invérifiabilité, n'est pas  en soi une hérésie rationelle pure et dure. Il est concevable, en effet, que dans certaines circonstances extrêmes  le meurtre apparaisse comme la seule issue possible pour se dégager d'une situation généralement violente sans que la violence soit immédiate et perceptible. Nos cours de loi, par souci de justice, devraient effectivement  garder cette possibilité ouverte mais elles devraient aussi s'assurer qu'un large éventails de preuves indiscutables et pertinentes viennent étayer cette défense, ce qui rendrait la chose rarrisime.
 Normaliser le SFB; lui oter son caractère extreme et l'offrir comme défense accessible  à quiconque aura mangée une claque sur la gueule durant sa vie n'est rien de moins qu'une désacralisation systémique de la vie masculine. Or voici les paroles prononcées lors d'un jugement (R. vs Malott) par la Juge en Chef de la Cour Suprême du Canada, Berveley McLachlin, et une autre juge: " Ne soyons pas trop restrictif dans l'identification de candidates (au SFB), Ce ne sont pas que des femmes sans recours, dépendantes  et passives. Elles sont aussi fortes, indépendantes, sures d'elles et professionelles. Mais il serait imprudent de laisser aux hommes le loisir de plaider le SHB"
   Traduction: le SFB ne doit pas simplement s'appliquer aux cas de femmes psychologiquement faibles ou dépendantes prises dans des circonstances exceptionelles mais à toutes les femmes, en tout temps. Mais ne donnons pas accès à cette défense aux hommes.
   Normalisation du meurtre; banalisation des critères et des circonstance. Désacralisation massive de la vie masculine.
  Et le pire reste à venir.

AUDI ALTERAM PARTEM  (hear the other side- écoutez l'autre version. Principe de Justice Fondamentale depuis la Rome Antique)
    Les morts ne parlent pas. C'est la leur moindre défaut ainsi que leur plus grande qualité quand on ne veut  payer le prix de leur meurtre.
  Teresa Pohchoo Craig, d'Ottawa, Ontario,  aura clairement illustré ce fait . Nous n'entendrons jamais la version des faits de Jack, tué de multiples coups de couteaux tandis qu'il dormait. Selon les aveux même  de son assassin, Jack n'a jamais abusé d'elle physiquement. Il n'a jamais frappé Térésa, ni giflé ou commis la moindre sévice physique  a  son endroit. Et pourtant-il méritait la mort parcequ'il lui manquait de respect "verbalement".
   La désacralisation de la vie prend içi un double pas vers le bas alors que le damné SFB s'auréole d'un nouveau concept : non seulement  la "victime" n'a plus besoin de craindre pour sa vie, d'être en danger ou même d'avoir été battue (comme le requiert pourtant le syndrome!!!!) pour se voir exonérée de ce qui saute aux yeux comme étant un meurtre froidement  prémédité mais la meurtriere n'est même plus tenue de prouver quoi que ce soit- sa parole suffit. Quelques supposées insultes verbales (you bitch!) suffisent a effacer 23 ans de pénitencier de sa sentence sans que la version de Jack ne soit jamais entendue!!!!
  Le SFB devient alors le Syndrome de la Femme Non Battue et la vie ne Jack devient l.équivalent d'une automobile volée, une fraude mineure, une entrée par effraction: 2 ans de penitencier pour la coupable.
  Il est important de noter que 25 représentantes de LEAF - women's Legal and Education Action Fund-  un organisme radicale de militantes féministes- pleurèrent de joie lorsque le verdict fut rendue, certaines insistant même que Térésa aurait due être complètement exonérée.
  Elle tue froidement un homme durant son sommeil de multiples coups de couteau parce qu'il était irrespectueux verbalement et ces féministes applaudissent la chose!?!
  Le seul élément positif  que je puisse ajouter à ce constat déplorable est le le gouvernement Harper à couper toutes ses subventions à  LEAF. Si ces femmes souhaitent militer pour plus de désacralisation du vivant, elles devront le faire on their own fucking dime! N'empêche que le mal est fait. Le SFB (SFNB!) est devenu l'excuse par excellence pour exonérer les meurtrières et ce cancer s'étend maintenant au-delà du meurtre et s'applique à n'importe quel crime commis par une femme. Déjà, plusieurs cas d'assauts (dont certains contre des policiers) et deux cas de fraude sont passés sous le rouleau compresseur de la pauvre femme qui n'est pas traitée avec le plus absolu respect.
 Talk about your slippery slope!
 Peut-être devrions-nous renommer  tout ca Le Syndrome de Cléopatre...?
 Je suis reine. Ce que je dis est Loi. Je SUIS la loi! Obéissez à ma voix!|

   LE DÉBUT DE LA FIN

Nos enfants ne sont pas notre propriété!
  
Elizabeth Cady Stanton- 1815-1902
"When we consider that women are treated as property, it is degrading to women that we should Treat our  children as property to be disposed of as we see fit."  Letter to Julia Ward Howe, October 16, 1873, recorded in Howe's diary at Harvard University Library
   Les féministes n'ont pas toujours étées pour l'avortement. Au début elles étaient contre, et les arguments qu'elles utilisaient ne relevaient pas du religieux mais de la logique humaniste. L'argument que soulevait la grand-mère du féminisme nord-américain dans sa lettre à Julia Ward n'était pas très étoffé mais son point central semble clair : si je ne veux pas MOI  être traitée comme un objet, une possession, comment puis-je demander le droit de traiter ma progéniture comme tel?
  Flash forward aux années '60. Le discours a complètement changé. Les femmes, qui se réclament pourtant de la la même tradition humaniste  ayant poussé Elizabeth Cady Stanton à se battre pour l'émancipation des Noirs et, ensuite, des femmes, réclament désormais le droit de tuer la l'être humain dans leur ventre comme un droit fondamental!!!
Ceci n'est pas un être humain

   En tant qu'humaniste, je me dois d'indiquer que le début de la fin- le début de la désacralisation massive du vivant- commence içi, avec cette notion féministe (et hérétique aux humanistes de bonne foi) que le droit de tuer est un droit fondamental.
   Il n'est donc pas très surprenant qu'après avoir lobbyé le droit de tuer l'innocence qui grandissait en elles, les femmes se soient mises à lobbyer pour le droit de tuer tout ce qui bouge ou, tout au moins, pour ne pas avoir à payer le prix ultime lorsqu'elles le font.
   Le fémisnisme aura certainement permit un rétablissement de certains déséquilibres sociaux- travail égal, salaire égal, accès indépendant au crédit, ouverture des opportunités professionnelles, accès libre à l'éducation supérieure, liberté sexuelle, non-conformisme aux dikats de l'Église, émancipation de la personne- bref, le féminisme aura adressé une multitude de problèmes et nous devons, en tant qu'humanistes, célébrer toutes ces réformes car elles permettent à un membre de la race humaine d'atteindre des niveaux de liberté et d'émancipation jusqu'alors hors de portée. 
  La désacralisation du vivant, cependant, ne fait pas parti de ce que nous devons célébrer du mouvement féministe. Bien au contraire. La vie humaine n'a jamais si peu value que depuis l'émancipation féminine. Elles qui ne cessent de se présenter au monde comme de permanentes victimes multiplient cependant les "droits", les "syndromes" et les discours justificateurs afin de commettre le crime le plus odieux qui soit- la destruction du peu de temps dont l'humain hérite à son apparation dans l'univers- et n'y regardent pas deux fois avant de pervertir les principes de justice les plus fondamentaux afin d'arriver à leurs fins.
  L'idée même que tuer pour s'affranchir constitue un "droit fondamental"  est une hérésie féministe qui aurait du nous mettre la puce à l'oreille quant au cheminent inévitable qu'une telle facon de penser suivrait au fil des ans et l'impact qu'elle aurait sur nos sociétés.
  Aujourd'hui, nous le constatons pleinement: la vie n'est sacrée que lorsque les hommes la détruisent. Autrement, c'est un droit, une pratique justifiable.   
  Si l'être humain moderne se cherche encore une raison d'être anti-féministe, la désacralisation du vivant devrait figurer en haut de la liste.

17 commentaires:

  1. Je me permets de commenter cet article pour donner mon avis.
    Si il y avait pas autant de juges, avocats ... femmes nous n'en serions sans doute pas là aujourd'hui. Si il y avait moins de femmes dans les sphères médiatiques, dans l'éducation y aurait moins de propagande pro-féministes et moins de décrochage de la part des garçons.
    Je ne peux dire si il est trop tard ou pas, mais j'ai l'impression que notre inaction envers le féminisme, ou plutôt ses points les plus obscures, en l'occurence la misandrie, a fait porter ses fruits à leur combat anti-homme. Le problème, est que le féminisme ment depuis le début en accusant l'homme de tous les maux, du patriarcat ... sauf que c'est faux !!!
    Le machisme était plus évident sous le règne de Napoléon en France, et même le code Napoléon a été exagérémment justifié quand au combat pour la soit-disant égalité homme-femme.
    Je ne sais pas vous, mais en France je suis de plus en plus persuadé que l'égalité était un moyen de forcer une féminisation de la société. Avec toutes les conséquences désagréables qui en découleraient

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  2. Je partage en partie votre opinion sur les juges et avocats du sexe féminin mais avec un bémol- certaines donnent effectivement l'impression de s'être jointes a ces professions afin d'aider et promouvoir la téorie féministe et non la justice dans son ensemble (Beverley McLaclin projette certainement cette impression) mais toutes ne sont pas comme ca. Le problème réside essentiellement dans le fait qu'il est impossible de différencier les officiers de la cour et les officiers féministes... avant qu'il ne soit trop tard et que le mal soit fait.
    On peut aussi dire la même chose des politiciennes. Certaines servent l'ensemble de la population tandis que d'autres ne semblent intéressées qu'à promouvoir le fait féminin.
    *******
    Il n'est jamais trop tard pour renverser une tendance sociétale. L'esclavage, par exemple, aura perduré longtemps chez nos voisins du sud avant qu'ils se reprennent en main et affranchissent le Noir. Le grand problème c'est qu'à partir du moment ou une facon de faire/penser est bien ancrée dans les moeurs et les coutumes- tel que la misandrie rampante semble être ancrée dans les notres- il est difficile de concevoir que ses "acquis" seront délaissés pacifiquement.
    Certains masculistes prétendent *déjà* qu'un conflit musclé entre les féministes et les masculistes soit inévitable afin de rétablir une société ou la haine et le mépris systématique d'un genre ne soit plus la norme.
    Je dis souvent que l'homme est le dernier nègre... et je dois admettre qu'il m'est assez difficile de concevoir comment de simples paroles réussiront à nous extirper de notre négritude.
    La force semble effectivement notre unique solution. Reste à savoir si les hommes (et les femmes) écoeurés du féminisme choisiront la force politique (se faire une plateforme, se faire élire, changer les choses grace au Pouvoir politique) ou la force brute, toujours très efficace à court terme mais lourde de karma à long terme...

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  3. ramassis de conneries

    tu es un homme a n'en pas douter...

    question pour toi et comment reagis tu stp de maniere emotionnelle brute :

    t'es tu deja fais coller, frotter, dragué, etc par un autre homme??

    ceux que je connais, à commencer par mon petit ami, n'ont pas apprécié...et simultanément ont pu decouvrir ce qu'on ressent en tant que "proie"..
    la grande difference, et tu le soulignes à la fin de ton texte, c'est la force physique...donc, à part ça, il n'y pas de difference c'est ça?

    je suis une femme, et je peux t'assurer qu'etre "feministe", tel que je le concoit, n'est pas une derive pour devenir actrice de porno...en fait, etre feministe, "", c'est juste de vouloir retablir l'equilibre entre les hommes et les femmes....à commencer par les choses faciles, comme le droit d'avorter( le droit à disposer de son corps, car, que penses tu alors de la vasectomie? hum, si tu te fais violer, par exemple, et que tu tombes enceint(e), ne penses tu pas que tu as le droit de ne pas porter cet enfant? bref, ce que je lis dans ton blog, a travers les lignes, c'est que tu as du en baver grave, et que tu n'as rienn compris.attends ta prochaine vie, je te le souhaite, où tu seras peut etre une fille, une femme, une mere...

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  4. et si je veux etre juge, avocate, ecrivaine, directrice, cheffe, institutrice, cheffe de chantier, cheffe bucherons, conductrice poids lourds...la moindre des choses c'est qu'on ne m'en empeche pas!!!, c'est scandaleux votre discours patriarcal, allo mais atterri man!! la femme est l'avenir de l'homme!!!!la femme a l'insctinct de conservation de l'espece elle, pas celui de conquete de territoires...les videos que tu montres sur les jeunes femmes violentes les kaira, elles sont devenues comme ça pour quoi à ton avis? en cherchant la cause des choses on fini par comprendre: un putain de systeme où la femme est une servante, une pute, une mere pondeuse...qui n'a pas le droit de "...là y a une liste de 15m....", à commencer par être libre de : la liste est longue aussi, mais je mettrais tout simplement d'aimer qui elle veut, de s'habiller comme elle veut, de parler a qui elle veut, de marcher où elle veut...bref d'etre un etre vivant libre, avec un libre arbitre....si tu veux j'ai des videos de mecs qui disent ouvertement que ça ne les derangent pas de frapper leur meuf..."si elle l'a merité"....les filles violentes mon ptit bonhomme, tout petit, c'est à CAUSE de ces connards machistes , des talibans comme je les appelle...je pense que tu te sentirais BEAUCOUP mieux dans un pays comme l'arabie saoudite, l'algerie , ou autre pays où les femmes sont limites contentes de perdre leur humanité en mm temps que leurs droits.....j'espere bien que tu as compris que les femmes en ont assez, et que heureusement certaines ont des 'couilles', pour affronter la jungle dans laquelle les hommes belliqueux et qui considerent les femmes de la moindre maniere l'ont laissé....

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  5. Je crois, madame, que vous répondez içi à des choses que vous avez lues sur un autre site.
    Je n'ai montré, dans ce blogue, aucun vidéo de femmes violentes; n'ai jamais insinué ou affirmé que les femmes victimes de violence "le méritait" de quelque facon que ce soit pas plus que je ne supporte la discrimination sexuelle- bien au contraire.
    Je crois que vous faites erreur sur la personne et que, si vous prenez le temps de lire les textes que je présente, vous réaliserez que ce sont les excès féministes qui sont içi en cause et non sa base humaniste et égalitaire.

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  6. Bonjour Martin, (partie -1)

    http://antifeminismeselonmalthus.blogspot.com/2011/11/la-desacralisation-du-vivant-au-profit.html#comment-form

    1- "Aujourd'hui, nous le constatons pleinement : la vie n'est sacrée que lorsque les hommes la détruisent. Autrement, c'est un droit, une pratique justifiable." Publié par Malthus à l'adresse 16 :52

    Primo, l'avortement n'est pas tuer le sacré car il a été accepté que la vie commence après la délivrance. Quand vous mangez un oeuf vous ne mangez pas un poulet.

    Deuxio, aucune vie n'est considérée sacrée par aucun gouvernement. Seul la vie du roi est dite sacrée et les rois ne se gênent pas pour tuer ou faire tuer autant de personnes que nécessaires, cautionnés par les Adam Smith, Malthus et Darwin de ce monde et diEU lui-même. Rois ici s'entend de tous ces psychopathes exerçant du pouvoir sur autrui incluant les chefs religieux.

    Tercio, condamner unE innocentE à vivre 80 ans d'esclavage fiscal c'est la preuve irréfragable que le sacré est une manipulation, une fumisterie. L'individu est sacrifié pour l'institution. Les animaux destinés à la boucherie sont traités de la même façon, et vice versa.

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  7. (Partie-2)
    2-"Le problème réside essentiellement dans le fait qu'il est impossible de différencier les officiers de la cour et les officiers féministes... avant qu'il ne soit trop tard et que le mal soit fait." 5 novembre 2011, 14 :56

    Ceci est inexact. Il y a un moyen simple et peu coûteux de régler ce problème et celui souligné au paragraphe 1 ci haut. Mais puisque la vie n'est pas sacrée, les psychopathes au pouvoir ne feront jamais rien pour que cela change. Seules les femmes peuvent changer cet état de fait, mais il n'y a pas d'hommes pour le leur permettre.

    Même vous dans votre texte vous invalidez le moyen qui peut changer les choses. Je vous soumets donc les liens qui mènent aux textes que j'ai écrits sur le sujet.
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    Ici un texte décrit les canayennes d'autrefois :
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    https://www.facebook.com/gaiagernaire?sk=notes#!/note.php?note_id=309210299124231

    -"Chez eux, l’abandon de la famille par leurs femmes ou encore, la séduction et l’infidélité est extrêmement rare. Les femmes sont affectueuses et fidèles mais refusent d’être considérées comme personnages de second ordre dans leur ménage. Leurs conseils sont soupesés très sérieusement avant la prise de décision; à tel point que, habituellement, c’est elles qui décident.
    -----------

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  8. (partie-3)
    Ici, un extrait de la franchise féminine :
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    https://www.facebook.com/#!/note.php?note_id=287647904613804
    ---
    "Nous, les femmes, développons nos charmes pour apaiser le mâle, et pour nous faire engrosser. Notre besoin du mâle est très animal, malgré des millénaires d’évolution, et je dirais même grâce à ces millénaires d’évolution. Donc, nos mâles, et malgré les lois qui règlent nos actes de tous les jours, peuvent se comporter comme des salauds, en fonction de leurs convictions, religieuses et autres. Par là même, nous ne sommes pas en mesure de lutter contre ce déferlement de violence autrement qu’en courbant l’échine et en devenant hypocrites."
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    Ici, il est question de s'attaquer aux causes, pas aux effets :
    ---
    https://www.facebook.com/gaiagernaire?sk=notes#!/note.php?note_id=279749595403635
    --

    " Il y a ici confusion très révélatrice de la cause avec son effet, et l'on combat comme source du mal quelque chose que l'on a soi-même fait naître. Ce type de phénomène ne se produit pas uniquement en pédagogie mais aussi dans les domaines de la psychiatrie et de la criminologie. Une fois que l'on a suscité le " mal " par la répression du vivant, tous les moyens sont bons pour le combattre chez la victime."

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  9. (partie-4)
    Ici, c'est le constat d'échec total du système d'éducation :
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    https://www.facebook.com/gaiagernaire?sk=notes#!/note.php?note_id=277575775621017
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    "…nos recherches en éducation ne nous ont pas permis de découvrir ni une conception complexe de la nature humaine susceptible de guider les enseignants dans leur processus personnel d'humanisation et celui de leurs élèves, ni un système d'éducation axé prioritairement sur le développement des potentialités mentales et morales des élèves.
    --

    Mais c'est aussi ici que le moyen de tout changer est explicité succinctement :
    --
    " Une mère n'est capable d'empathie que si elle s'est libérée de son enfance, et elle réagira forcément sans empathie tant que le déni de son destin la chargera de chaînes invisibles. Et il en est de même pour le père. "
    --
    DANS TOUTES LES ÉCOLES DU QUÉBEC, TOUTES LES FILLES DEVRONT ÉTABLIR LEUR BIOGRAPHIE DÉTAILLÉE : UNE ONTOGENÈSE ET UNE PHYLOGENÈSE !
    --
    Aussi, DANS TOUTES LES UNIVERSITÉS FRANCOPHONES DU QUÉBEC, le préalable onto-phylogénésique complété doit être exigé au 2ième cycle et de tous ceux qui seront habilités à exercer dans une sphère touchant à l'humain au quotidien après le 1er cycle : médecine, nursing, droit, pédagogie, sciences sociales, etc.

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  10. (partie-5)
    Ici est décrit comment la créativité est tuée, dans un mémoire en science politique soumis par une avocate.
    --
    https://www.facebook.com/#!/note.php?note_id=279762055402389
    --
    https://www.facebook.com/gaiagernaire?sk=notes#!/note.php?note_id=279773792067882

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    J'aurais aimé faire plus court, mais je ne peux que faire plus long.

    Jean-François Belliard

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  11. excellent: cela illustre parfaitement la réalité du féminisme actuelle qui affirme que le féminisme n'a "jamais tué" personne alors que 200 000 être humains sont assassinés chaque année au nom de la soi-disante liberté du corps de la femme! un

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  12. Je suis à 100% d'accord. Si je devais m'en prendre à chaque femme parce qu'elle m'a rejeté, insulté, ou parce qu'elle s'est moquée de moi, je serais un tueur en série aujourd'hui... Mais c'est ainsi qu'est le prototype de la femme moderne ; son statut de victime politique lui est monté à la tête, son piédestal l'a rendue méprisante à l'égard du sexe opposé, son accès au pouvoir est possible plus facilement que pour un homme à cause du féminisme (qui est l'idéologie d'un bon nombre de femmes au pouvoir aujourd'hui). Mais ne serait-ce que parce que je suis un masculiste qui m'assume, je subis déjà des stigmatisations de "misogyne", "réactionnaire", "rétrograde" de la part de lesbiennes narcissiques, mégalomanes et égocentriques, par-dessus tout misandres... Elle est belle la femme moderne !

    C'est cela qui est très grave aujourd'hui ; le féminisme n'est ni plus ni moins qu'une idéologie totalitaire et sectaire qui attribue aux femmes le monopole de la violence de tous les types, et qui blâme toutes les violences masculines à côté. Une hypocrisie pour le moins monstrueuse...

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    1. Le monopole de la violence, ah, vraiment? Redescend sur terre mon gars. 3 hommes sur 4 subissant des violences conjuguales bat déjà sa femme. Er permets moi de te dire qu'en temps que féministe, je suis également masculinistes. Ce qui est dommage avec ces derniers est la haine frequente qu'ils vouent aux femmes, et qui leur fait penser qu'elles sont a l'origine de tous leurs maux. Pour moi, deux mouvements qui se veulent égalitaires devraient fonctionner et discuter ensemble plutot que d'engager une guerilla constante..

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  13. améllie si vous avez du temps :
    http://www.europe1.fr/Faits-divers/Aisne-elle-tue-son-mari-au-fusil-de-chasse-1019255/
    http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/27/97001-20120127FILWWW00448-20-ans-pour-avoir-tue-son-mari-et-son-fils.php
    http://www.melty.fr/pakistan-une-femme-tue-son-mari-et-le-cuisine-actu85737.html
    http://www.20minutes.fr/article/901845/femme-jugee-avoir-tue-mari-violent

    Le féminisme n'a peut-être jamais tué personne avant les premiers homicides commis par des femmes, mais force est de constater que le féminisme depuis la fin du patriarcat , allez disons dans les années 70, commence déjà à tuer. Et je ne compte même pas les meurtres envers les autres femmes.
    Surtout que les medias à 95 % féministes évitent de transmettre ce genre d'information dans l'intérêt de leur "combat" fossilisé.
    Alors entre le patriarcat et le matriarcat, je ne sais pas lequel des deux tue le plus, mais une chose est sure, ce dernier est beaucoup plus sournois que le premier

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  14. je me permets d'intervenir envers la dernière personne à qui malthus a répondu :
    "u es un homme a n'en pas douter...

    question pour toi et comment reagis tu stp de maniere emotionnelle brute :

    t'es tu deja fais coller, frotter, dragué, etc par un autre homme??

    ceux que je connais, à commencer par mon petit ami, n'ont pas apprécié...et simultanément ont pu decouvrir ce qu'on ressent en tant que "proie"..
    la grande difference, et tu le soulignes à la fin de ton texte, c'est la force physique...donc, à part ça, il n'y pas de difference c'est ça?"

    1/ rien à voir avec les torchons et les serviettes si j'ose dire, mais bon encore un petit effort et tu éviteras de te ridiculiser en postant n'importe quoi et par conséquent en te décrédibilisant.


    2/ En quoi le fait de te faire frotter, coller ... légitime le meurtre ? oui car il s'agit ni plus ni moins d'un meurtre dans le cas où ça n'est pas évident dans ta petite tête de linotte c'est retirer la vie d'autrui. Donc tu t'approprie le destin d'autres gens pour un oui ou pour un non. Comment réagirais tu toi si je brisais le coup de ta copine qui m'aurai flanqué la main au c.. ?
    Réponse : oh le méchant bouffeur d'enfants, phalocrate il tue une faible femme.

    3/ Ca s'appelle vivre en société, si on se fait pas remarquer bêtement,on passe inaperçu, on ne peut pas changer les individus, même si les féministes n'ont pas eu de mal à te bourrer ton crâne creux de stupidités du même acabit.

    4/Arrête de nous faire croire que ton monde boîte, coke, alcool, putes ... c'est notre monde, on est dans deux mondes différents, et ton monde, c'est ce contre quoi je me bats aujourd'hui pour un meilleur monde demain.

    "les ...je pense que tu te sentirais BEAUCOUP mieux dans un pays comme l'arabie saoudite, l'algerie , ou autre pays où les femmes sont limites contentes de perdre leur humanité en mm temps que leurs droits....."

    Je crois que t'as pas bien saisi le truc, ici on est en Europe, les pouffiasses au QI en 2 chiffres on veut pas de cette merde comme toi ici, vous dévergondez les autres femmes, salissez l'image de la femme devant les petites filles, apprenez aux garçons à devenir des pervers et tentez les hommes. Prend tes valises et va dans un pays "ouvert". A moins que tu sois habituée à t'ouvrir à n'importe qui :D

    "j'espere bien que tu as compris que les femmes en ont assez, et que heureusement certaines ont des 'couilles', pour affronter la jungle dans laquelle les hommes belliqueux et qui considerent les femmes de la moindre maniere l'ont laissé...."

    Bravo, super, tronquer sa féminité pour ressembler à un homme, parce que madame a un problème psychique et n'a pas de personnalité, au moins tu reconnais qu'il faut être un homme pour s'affirmer merci du compliment.

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  15. C'est faux. Bien qu'il y ai plusieurs "genres " de féminisme, en aucun cas ce dernier ne réclame une plus grande clémence envers les femmes. Le féminisme a pour but de rendre la femme égale a l'homme. Et l'erreur faite par beaucoup de gens est de penser qu'elle veulent être au dessus des hommes. Si les hommes subissent des injustices, il ne faut pas forcément pointer les féministes du doigt, elles n'ont rien a voir avec ça. Au contraire. Même si les hommes souffrent nettement moins des inégalités entre les sexes, peu nombreuses sont celles qui s'opposent a l'égalité.

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  16. Ah et au vu des commentaires precedents, je prie ceux qui souhaitent me repondre de le faire avec courtoisie et respect. Sans quoi un débat est rarement fructueux a mon humble avis de femme (lol). Merci =)

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