`' La femme a besoin d'un homme comme un poisson rouge a besoin d'une bicyclette`'- Irina Dunn (faussement attribué à Gloria Steinhem)
Les féministes nous ont habitués aux phrases-choc de ce genre qui, même si elles ne décrivent rien de la réalité objective, révèlent cependant des aspects intéressants de leur mythomanie- en l'occurence içi que l'homme ne sert à rien, qu'il est inutile. Nous pourrions disparaitre de la planète aujourd'hui que les femmes ne remarqueraient pas notre absence sinon que par le vide laissé derrière nous.
J'en conviens, ce n'est certes pas la citation la plus haineuse ni la plus méprisante produite par la psychose collective féminine mais, contrairement à d'autres plus incendiaires tel "Tout acte hétérosexuel, même consenti, constitue un viol" ( Dworkin) qui n'est considérée comme véridique que par une infime minorité d'enragées, la fable du poisson et de la bicyclette exprime quant à elle une croyance quasi universelle chez la femme moderne- même celles qui se décrivent comme non-féministe.
Le père est inutile- la famille peut aisément se passer de lui.
Il y avait 160,000 familles monoparentales au Québec en 1976. En 2001, ce chiffre est passé à 335, 595 et, depuis, grossi annuellement de 3 à 6%. Le quart des familles québecoises sont maintenant monoparentales- quelques 500,000 enfants, donc- et hormis les variations statistiques inévitables dans ce genre d'exercises, la grande majorité de ces enfants ne connaissent pas, ou si peu, l'homme le plus important de leur existence: leur père.
Nadja Suleman "octomom"- 14 enfants, aucun père, aucun revenu |
Que dire, en effet, d'une femme qui ne veut pas d'homme dans sa vie mais oblige son vieux père de 67 à retourner sur le marché du travail pour subvenir aux besoins de ses petits-enfants; oblige sa mère de 69 ans à s'en occuper, quitte à la pousser au bord de l'épuisement, et force sa société à en défrayer les couts- que c'est là une femme forte, indépendante et libérée? Que c'est une bonne mère?
Non, évidemment. Elle n'est rien de tout celà, non seulement parce qu'elle dépend entièrement des autres pour assurer sa subsistance et celle de sa progéniture (support sans lequel la plupart de ses 14 enfants seraient aujourd'hui décédés) mais elle est loin d'être "une bonne mère" si on considère la qualité de vie et le destin probable que son "émancipation" réserve aux enfants et qui, pour le dire franchement, est loin d'être prometteur.
Sur ce spoint, les statistiques sont claires: les familles sans père sont des machines à fabriquer des délinquants et des mésadaptés.
Le Conseil Canadien du Droit des Enfants cite ces statistiques pour les enfants issus de foyers dont le père est absent (fatherless homes). Ils constituent:
- 72% des meurtriers adolescents
- 60% des violeurs
- 70% des enfants emprisonnés
- 2 fois plus enclins à décrocher de l'école
- 11 fois plus enclins à devenir violents
- 75% des suicides adolescents
- 80% des hospitalisés psychiatriques
- 90% des fugueurs
- 8 fois plus enclins de faire de la prison
- 5 fois plus enclins au suicide
- 20 fois plus enclins à éprouver des problèmes de comportements
- 20 fois plus enclins à devenir des violeurs
- 32 fois plus enclins à fuguer
- 10 fois plus enclins à la toxicomanie et l'alcoolisme
- 9 fois plus enclins à décrocher de l'école
- 1/10 ieme enclins à obtenir des A à l'école
A celà s'ajoute la réduction d'incidence de violence et d'abus sexuels commis par la mère lorsque le père est présent pour les protéger, soit par disuasion, soit en détournant vers eux la violence de la mère et je passe sous silence toutes les vertus associées à un modèle masculin présent et actif dans la famille.
Malgré cet hécatombe statistique effarant, nos sociétés glorifient et ennoblissent ces femmes qui traitent les hommes comme des machines à sperme tout en perpétuant l'image qu'un tel comportement est sain, voire même préférable ou "plus évolué (sic)", à une famille traditionelle. Du même souffle, on culpabilise et juge très sévèrement les pères absents sans jamais étendre le champs de cette opprobe, cependant, aux femmes qui ont sciemment refusé aux enfants l'accès à leur père biologique et à tous les bénifices qu'il saurait injecter dans leur vie.
Les média de masse, loin de comdamner ce comportement sexiste, égoiste et toxique, mettent au contraire de l'avant leurs icones les plus populaires, tels Jaylo ou Jenifer, au service de la fable du poisson rouge et de la bicyclette, de l'homme inutile Outre le cinéma et les publications qui multiplient ad nauseam le mythe des "femmes fortes", "courageuses" ou "indépendantes" lorsque monoparentales, l'industrie télévisuelle ne reste pas en plan et sature nos ondes- litéralement- en nous bombardant d'héroines et de commerciaux où le père est virtuellement inexistant. Si on peut comprendre les impératifs financiers qui forcent les compagnies à jouer le jeu et ne pas "brasser la cage", rien ne saurait cependant expliquer le silence assommant de nos gouvernements et de toutes ces bonnes gens du système légal qui ne jurent que par sacro-saint "bien de l'enfant" (re-sic).
Rien sinon que cette incapacité pathologique des féministes à différiencer le mot "père" du mot "patriarcat".
Rien sinon que cette incapacité pathologique des féministes à différiencer le mot "père" du mot "patriarcat".
Bon. Va pour le délire idéologique féministe, sa propagande éhontée et les désastres sociaux qu'il occasionne. Mais est-il juste de rejeter le blâme entièrement vers les femmes; de les pointer d'un doigt accusateur, se faire passer pour les grands défenseurs du droit de l'enfant, outrés de ces comportements frôlant le criminel, alors que nous savons bien que rien de tout ceci n'aurait cours sans notre consentement explicite ou implicite?
Que non!
L'antiféministe doit se garder des pièges de la victimisation et du blâme unidirectionel si chères à nos soeurs. Le fait est que nous avons notre part de responsabilités dans cette situation et en avons une encore plus grande dans sa résolution. Certes, les femmes ont un large travail à faire sur elles-mêmes quant à leurs illusions et égoisme en cette matière mais c'est à elles de voir. Elles ont faits leur lit, qu'elles s'y couchent.
Quant à nous, il est impératif que nous acceptions la responsabilité finale de notre fertilité ainsi que le devoir d'en être les maitres absolus. Pour ce faire, quelques comportements clé nous serviront très bien- nous, nos enfants et par le fait même, notre société en général.
- Ne jamais être client d'une banque de sperme.
- Ne jamais accepter de servir de stud
- Ne jamais croire ce qui dit une femme en matière de fertilité et de contraception
- Toujours porter un condom
- Ne jamais laisser une femme acheter les condoms, les manipuler; ne jamais les laisser sans surveillance
- Toujours s'assurer de détruire- et non seulement de disposer- d'un condom usagé
- S'assurer que nous souhaitons devenir père et refuser d'engendrer une grossesse si ce souhait n'est pas présent.
Matt Dubay a cru sa blonde lorsqu'elle l'assurait prendre la pillule. |
Les femmes ne peuvent mettre au monde des enfants sans père si nous refusons de les laisser faire. Voilà ou notre responsabilité réside. Il nous faut absolument contrôler notre sperme et nous ne pouvons faire confiance à personne d'autre que nous-mêmes en la matière.
Je pourrais vous parlez d'Hélène (une ex) qui me conta le mensonge-cachalot par excellence pour s'assurer de sentir mon sperme couler en elle. Accident de voiture tragique, perte d'un foetus, ablation de l'utérus bref, terrain infertile, condom non-nécessaire. Avouez qu'on fait difficilement mieux! Qui oserait mettre en doute cette histoire tragique ?
J'aurais du car ce n'était qu'un tissu de mensonges. Madame n'aimait pas le sexe sans sperme à la fin- le sundae n'était pas suffisant , il lui fallait absolument la petite cerise dessus. Pour en avoir largement discuté avec d'autres femmes, celà fait une différence, apparement.
Évidement, l'inévitable ne fut pas évité et Hélène se retrouva enceinte. Oups! N'eut été d'un problème oncologique, je serais devenu le père d'un enfant que je souhaitais pas et le conjoint d'une menteuse dont que je ne voulais plus- le père absent par excellence!
Mais je n'ai pas besoin de piger dans mes souvenirs personnels pour savoir qu'une femme mentira sur ces choses si elle peut en tirer un bénéfice quelconque. Matt Dubay illustre de facon beaucoup plus publique le même scénario. Jeune homme de 25 ans à peine, bon travail, ne veut pas de famille pour l'instant. Rencontre son Hélène qui lui ment de facon similaire, cette fois à propos de la contraception. Matt traine la madame en cours lorsqu'elle donne naissance à une fille et exige des compensations monétaires et devient de ce fait le poster boy des hommes floués: le Roe vs Wade masculin. L'homme aussi doit avoir accès au Choix, argumente t-il. L'homme aussi doit avoir le droit de dire "non" à une grossesse non désirée, particulièrement lorsque cette grossesse est le résultat de mensonge, de fraude!
Jamais un homme ne fut tant ridiculisé par le système judiciaire. On riait ouvertement de lui en cours et les commentaires populaires n'étaient guère plus tendre.
Le point à retenir içi (il y en a plusieurs mais restons focus): c'est aux hommes d'assumer leur fertilité et c'est à eux que revient la responsabilité finale de ne pas permettre aux femmes la création de familles où l'homme sera absent.
Pour avoir leur progéniture et ainsi répondre aux impératifs biologiques qui les animent, les femmes mentiront, frauderont, saboteront nos condoms d'un coup d'épingle ou attendront notre sommeil profond pour ré-insérer le sperme encore chaud du condom dans la petite poubelle sur le coté du lit. Elles miauleront et cajoleront et multiplieront les promesses de junkie- n'importe quoi pour atteindre leur but.
En tant qu'homme, il nous est difficle de comprendre la profondeur de ces pulsions maternelles. Mais si nous souhaitons enrayer le fléau de la monoparentalité vanté par l'intelligentsia féministe; si nous souhaitons des enfants sains et équilibrés et si nous souhaitons vivre notre paternité pleinement, l'assumer complètement et en tirer toutes les joies (et les tristesses) qui s'y accompagnent, nous devons être ferme et...controler notre...
J'aimerais vous faire un doux reproche ici.
RépondreSupprimerComme vous le faisiez remarquer avec justesse dans l'article précédent sur le mariage, piège à con, il n'y a pas de demie mesure qui vaillent pour contrôler notre sperme. J'abonde dans le sens de vos mesures et j'ajoute la suivante :
VASECTOMIE à 18 ans en évoquant la maladie mentale des parents sinon les "docteurs", pro-vie par défaut, refuseront.
Prenez exemple sur le bon clergé catholique. Pourquoi ne se reproduisent-ils pas ??? Il y a au moins 1000 ans qu'ils ont compris que la reproduction humaine est une bêtise qui n'a rien de "maternelle" et qu'en plus elle n'est pas soumise au Darwinisme.
C'est pour empêcher cette "contamination" par les pères des garçons que le féminisme a été institué et qu'ils(les pères) sont systématiquement expulsés de la vie des enfants lorsqu'ils prennent conscience de l'arnaque.
À qui ces crimes rapportent-ils ???
Jean-François Belliard
jfbelliard@videotron.ca