''L'homme est un violeur et c'est tout ce qu'il est!''
Marilyn French-auteure de ''The War Against Women''
''La proportion d'hommes composant l'Humanité doit être réduite et maintenue à 10%''
Sally Miller Gearhart
''Dire d'un homme que c'est un animal est de la flatterie. L'homme est une machine, un dildo ambulant''
Valérie Solanas
''Je crois que la haine de l'homme est un acte politique viable et honorable''
Robin Morgan- éditrice de Ms Magazine
Si quelqu'un doute encore qu'il existe bel et bien un agenda anti-homme plutôt qu'anti-patriarcat dans la pensée féministe, ces quelques citations leur donneront un appercu assez clair de leur méconception.
Il ne faut pas commettre la même erreur que les Juifs Allemands qui, stupéfaits de la haine sans borne que leur vouaient les Nazis, refusèrent de croire qu'il soit même possible que celle-ci s'actualise dans l'horreur qui fait maintenant partie de l'Histoire.
Pour avoir eu le grand déplaisir de lire
Mein Kampf , je sais que pour eux comme pour nous, la chute débuta par un discours haineux tenu par une seule personne mais rapidement repris et scandé par un nombre croissant de sympatisants. Ce discours les tenait responsables de tous les torts et de tous les maux; il les déshumanisait en les dépeignant tous de la même facon (sales, fourbes et hypocrites) et les rendait ainsi interchangeables, dépersonnalisés- un Juif en valait un autre. Tous étaient l'ennemi.
Comme l'atteste clairement les citations ci-haut, les féministes tiennent le même type de discours qui ne s'attaque pas à une idéologie mais spécifiquement à un peuple identifiable: nous. Nous nous valons tous. Nos droits doivent être abrogés; nos femmes et nos enfants doivent être protégés de nous; notre population doit être drastiquement réduite!
Le Juif Allemand ne pouvait, dans ses pires cauchemards, s'imaginer qu'un discours haineux d'une telle proportion puisse un jour se transformer en fait accompli. Et pourtant, l'Histoire nous démontre sans équivoque qu'une telle vague de haine aveugle chevauchant une démagogie simpliste ne reste pas longtemps inassouvie.
Combien de temps encore avant que l'homme moderne cesse de se comporter comme le Juif des années 30? Combien d'autres affirmations haineuses et méprisantes à son endroit devra t-il entendre pour se convaincre qu'on le déteste vraiment? Combien de droits élimés ou totalement obtus doivent disparaitre de notre quotidien avant que nous réalisions l'étât de siège que nous vivons? Combien d'heures/semaine de notre labeur devra être transférés dans les coffres de l'ennemi avant que nous réalisions que nous sommes effectivement en guerre? Combien de maisons, de familles et de patrimoine devront être perdus avant que nous cessions d'espérer que la tempête se passe d'elle-même, que les jours heureux sont juste là, à l'horizon?
Combien de ministres devront dire ''Je ne verse pas une larme sur le sort des hommes!'' avant que le message passe?
Je ne suis pas anti-féministe parceque je souhaite voir les femmes retourner à leurs chaudrons. Je suis anti-féministe car j'ai accepté et intégré le fait qu'il existe effectivement une guerre des sexes et qu'il est grand temps que nous nous présentions sur le champ de bataille.
Nos droits les plus fondamentaux s'effritent sous nos yeux. Notre présomption d'innocence est bafouée chaque fois que nous passe les menottes et nous incarcère sans l'ombre d'une preuve. Elle est bafouée chaque fois qu'on saisit notre salaire à la source même si nous n'avons jamais fait défaut à nos responsabilités. Elle est bafouée chaque fois qu'un
restraining order est émis à notre encontre sans la moindre enquête. Nous ne possédons aucune protection légale contre la fraude familiale- le vol de notre sperme dans le but explicite de nous utiliser comme bêtes de trait. Pire encore, si vous êtes un homme ayant été violé et qu'une naissance résulte de ce crime contre vous,
vous devrez payer votre aggresseur pendant les 20 prochaines années!!!!
On discrimine contre nous dans les écoles, les forces de l'ordre, dans les politiques d'embauch de la fonction publique, dans les hopitaux. La campagne de haine fonctionne si bien que les hommes fuient les écoles primaires et refusent d'y enseigner- trop dangeureux. Même chose pour les garderies. Nous avons tellement PEUR de réprésailles que la plupart des patrons ne rencontrent pas une femme seul dans leur bureau.
Lentement mais surement, l'homme est exclu ou est forcé de s'exclure lui-même par instinct de survie.
Petit à petit, loi après loi, précédent après précédent, jugement après jugement, discrimination après discrimination, mensonge après mensonge, l'homme suit la même inexorable pente que le Juif Allemand. Connaitrons-nous la même fin qu'eux?
La haine de l'homme est un acte politique viable et honorable nous disent les féministes- et personne ne leur intime le silence. Celà seul devrait nous faire craindre le pire.
Et pourtant non. La plupart des masculistes font dans l'appaisement, la diplomatie, la politique de l'autruche. Ils essaient de raisonner avec le déraisonnable, cherche le compromis, le terrain d'entente.
On ne raisonne pas avec la haine aveugle et on ne cherche pas le compromis avec un Nazi. On le combat. C'est tout.
À mon avis, il est temps que les masculistes se radicalisent et commencent à proner pour les hommes une approche plus musclée et intransigeante à la guerre des sexes. Une ligne de partie, en quelque sorte, et dont les points saillants ressembleraient à ceci
- N'engagez pas de femme dans votre entreprise.
- N'habitez pas avec une femme, même platoniquement
- Ne vous mariez jamais
- Ne faites pas d'enfant
- Ne payez rien d'autre que votre part
- Ne vous engagez pas dans l'armée ou les forces de l'ordre
- Cessez tout geste de galantrie
- Ne révélez aucune information personnelle
- Filmez discrètement tous vos ébâts sexuels- Dieu sait quand elle vous accusera de viol.
- Ne restez jamais seul avec une femme à moins de filmer la scène.
- Ne votez jamais pour une femme en politique
- Ne votez jamais plus pour un parti de gauche.
Bref, dans la mesure du possible et de la légalité et sans haine aucune, faire sentir aux femmes- toutes les femmes- ce qu'est une campagne d'ostracisation systématique et ne surtout pas se gêner pour en faire la promotion publique.
À la guerre comme à la guerre.