vendredi 25 février 2011

Déja un quart de siècle de misandrie publicisée...


 



 



Probablement celle que je trouve la plus exécrable
  Encore une fois, merci à Charlotte qui est rapidement en voie de devenir ma recherchiste honoraire :)

   Kookai est une compagnie de fringues pour dames. Cette campagne publicitaire remonte aux années '80s et couvrait le monde entier. France, Allemagne, Etats-Unis, Canada, Australie, etc...  Comme nous pouvons le constater , identifier l'homme à de la vermine, des déchets, des objets, de la raclure d'ongle ou une balle de jokari qu'on peut frapper à souhait (voir la vidéo You Tube) n'est pas un phénomène nouveau . C'est donc à dire que tous les êtres humains de 25 ans ou moins- tous nos enfants, donc- ont été abreuvés de cette merde misandre ou la moitié de l'Humanité (rien de moins!) est associée par images et messages à une classe inférieure.
  Je ne m'étonne pas maintenant de rencontrer des jeunes femmes sur les boards de discussions qui se réfèrent aux hommes comme étant "the male species"- une espèce à part (CBC board of discussion, il y a de cela deux mois à peine).
  Remarquer aussi la présence du petit panneau jaune montrant l'effigie d'un homme se faisant foudroyer dans la plupart des images.
 Sauvons les hommes... de qui?


 Merci encore Charlotte.

3 commentaires:

  1. J'ai appris de source très sûre que le CRI-VFF, qui étudie le phénomène de la violence dans une perspective très biaisée selon laquelle, vous vous en doutez, l'homme est le seul coupable, a refusé un atelier sur la misandrie dans le pub, dans le cadre d'une activité ayant pourtant l'homme pour thème. Ça promet ! L'homme sera à nouveau présenté comme le problème et la femme, inévitablement comme la solution.

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  2. Rien de bien étonnant. Les oeilleres et la censure sont les piliers de la mythomanie féministe.
    Assez paradoxalement, nous devrions les remercier de se comporter de la sorte. Plus elles se comportent comme des enfants qui préferent se boucher les oreilles et chanter a tue-tête pour ne pas entendre la vérité, plus elles génerent de l'écoeurement a leur endroit- écoeurement qui ne peut que grossir les rangs antiféministes.
    Lâchez pas les filles!!

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  3. On va se les faire yeaaaahhhh

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