vendredi 18 février 2011

Uh-Ho! La Cour Supreme prépare le terrain pour Lola!!!!

http://www.theglobeandmail.com/news/national/common-law-couples-deserve-fair-shares-when-separating-top-court-rules/article1913363/

 La Cour Supreme dans un jugement unanime vient de rendre sa décision sur deux cas impliquant des couples "common law". La décision- O quelle surprise!- indique que la conjointe a droit à une compensation monétaire si elle a aidé de facon "significative".
    On prend même la peine de signifier que sa contribution peut être "différente"- donc, ouverture évidente vers le n'importe quoi suffira. Un bon mot, des encouragements, une idée lancée en l'air et pourquoi pas une petite pipe pour le détendre un coup parti.
   Les bruits de sabots qui émanent de notre Cour Supreme, présidée par l'inénarrable Beverley McLachlin qui n'en manque jamais une pour pousser l'agenda féministe plus avant, devraient mettre la puce à l'oreille à tous les hommes du Québec.
  Notre beau pays s'apprète à se transformer en méga proxénète en abaissant toutes les femmes du pays au statut de pute. Vous la baisez? Ben vous devez payer maintenant. C'est essentiellement les termes de la loi que Lola, Mme Goldwater et la Cour Supérieure tente de faire passer en Cour Supreme. "Avec l'amour vient les responsabilités" nous indiquaient nos bons juges dans leur écoeurante décision.
  Iln'existe que deux défenses contre cet assaut évident contre nos portefeuilles, le choix personnel, l'indépendance de l'être et le simple bon sens: 1) ne jamais cohabiter avec l'objet de notre affection. 2) aller aux putes. Les vraies.
   Cette option s'avère de plus en plus pratique et présente des avantages évidents. Vous aurez le sexe que vous souhaitez, comme vous le souhaitez, quand vous le souhaitez, et vous ne paierez qu'une seule fois.
   Ce n'est plus qu'une question de temps avant que nos cours de loi  forcent les hommes à vivre selon l'adage " Vaut mieux coucher avec une professionnelle que de se faire baiser par une amateure."

3 commentaires:

  1. Je n'avais pas pensé aux risques de voir la prostitution - criminalisée et non légale - connaître un essor sans précédent avec la validation de la cause Lola. Ça promet des rapports homme femme d'une signifiance... Je maintiens qu'une telle dérive pourrait avoir des conséquences encore plus funestes, cependant.

    Le FLQ est né dans un contexte de répression comparable à celui qui pend au bout du nez des hommes du Québec. Vous me parliez récemment du nègre blanc d'Amérique. C'était exactement la dénomination employée par les felquistes pour dénoncer l'asservissement qu'ils constataient au Québec, sous la férule du pouvoir économique anglo saxon. Aujourd'hui, même écrasement, de la part cette fois du lobby féministe et du pouvoir familialiste. Court-on après les turbulences sociales ?

    Notez une chose : je ne cautionnerai jamais le terrorisme. Il faut toutefois cesser de garder la tête dans le sable. Des hommes ont déjà bloqué des ponts, d'autres pourraient en faire sauter. Faudra-t-il alors ressortir la loi des mesures de guerre des boule à mites ? Qu'est-ce que notre société, féministes et familialistes en tête, aura gagné en bout de ligne ?

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  2. Les hommes ne courent après rien, si ce n'est que leur queue (ah! Trèe drôle) Mais sérieusement Olivier, à quoi nous attendons-nous lorsque nos cours de lois auront statuées que les hommes sont effectivement des nègres? Que ceux-çi CESSENT de bloquer des ponts? Qu'ils cessent d'affirmer haut et fort qu'ils ne sont pas des citoyens de deuxième ordre?
    VASSAL: qui est en étât de dépendance par rapport à un autre (Larousse)
    Le nègre n'a qu'une seule option vis-à-vis ses maitres- se rebeller. Les mots "rebellion" et "anti" ne sont peut-être pas très `positifs' mais ce sont les seuls à sa disposition. Nous ne pouvons d'aucune facon le juger parcequ'il n'a pas usé de termes comme "diplomatie" ou "conciliation" dans son effort d'affranchissement.
    On le souhaite, certes, mais on ne l'espère jamais. Tant qu'il y aura des Blan(che)s prêt(e)s à traiter les hommes comme des citoyens de deuxième classe, il existera des hommes prêts à fonder le nouveau FLQ- prêts à poser des bombes, ou à faire du bruit, pour ne pas qu'on oublie la valeur de leur point de vue.

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  3. Votre article du 3 mai 2011 répond à cette question, sans référence au FLQ.

    En passant, lorsque les libéraux de Jean Lesage, qui arrivait du gouvernement fédéral d'Ottawa, ont adopté le slogan : " Maître chez nous " en 1960, faisaient-ils appel subliminalement aux hommes ou aux femmes ?

    Et qu'est-ce qui se passe depuis ? Qui est maître chez lui ? Une charte chromée en plus.

    Jean-François Belliard
    jfbelliard@videotron.ca

    Jean-François Belliard
    jfbelliard@videotron.ca

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