13 ans, 12 ans, 15 ans- tous victimes de viol. Tous des garcons, des enfants. Une prof de 34 ans veut vous "éduquer"; une nounou veut vous "déniaiser", on vous drogue pour vous mettre dans le mood...?
Aucune importance! Même si le droit criminel condamne votre violeuse pour le crime qu'elle a commis à votre endroit, vous n'êtes JAMAIS trop jeune pour qu'on saisisse le pécule que vous avez accumulé en pelletant les entrées ou avec votre route de journaux.
Vous êtes un pourvoyeur dès le moment ou vous naissez avec un pénis. Nos cours de loi ne prendront jamais votre défense, même lorsque vous êtes officiellement qualifié de "victime".
Vous avez 12 ans. Vous ne connaissez rien de rien. Vos hormones et votre sexualité jouent au tennis dans votre corps. Vous êtes confus, curieux, appréhensif, incertain et certainement incapable de donner un consentement éclairé! Les circonstances atténuantes bourdonnent autour de vous mieux qu'un essaim d'abeilles dans un champs de trèfles en fleur. Qu'à celà ne tienne! Votre ADN à été trouvée sur les lieux du crime alors vous êtes COUPABLE de paternité!
Marie Besnard- acquittement malgré 12 meurtres et une preuve accablante |
Nonobstant le fait que les tueurs en série ont une meilleure chance que vous en cours, le principe même qu'une victime d'un acte criminel puisse être de quelque facon forcée par la loi d'en assumer les conséquences sur l'aggresseur(e) est non seulement hystériquement absurde mais profondément immoral et va à l'encontre de tous nos principes de justices fondamentaux!
Et quoi d'autre encore? Un homme qui viole une femme, la bat, la violente et la pousse aux abords de l'abime psychologique et engendre une grossese par son crime pourrait lui réclamer de payer sa psychothérapie? Ses frais de docteur et d'ambulance après qu'il se soit fait tabassé en prison?
L'aggresseur n'est-il (elle) pas le seul responsable des conséquences et de l'impact que son crime aura sur sa vie personnelle?
Bien-sûr que si! C'est le plus élémentaire des constats.
Mais encore. Pourra t-il légalement forcer sa victime à "assumer ses responsabilités" et mettre l'enfant au monde via le poids du sacro-saint argument-jingle que "le bien de l'enfant prime par-dessus tout?"
Imaginez!
Je te viole, je t'engrosse et la loi te forcera à mettre mon enfant au monde et à me payer une ristourne car tu es sa mère. Ton ADN le prouve!! Aucune défense- nulle circonstance atténuante pour toi.
Mea Culpa |
Si les antiféministes se cherchent encore une raison de s'opposer au matriarcat envahissant; si ils doutent encore que deux lois, deux justices, deux pensées et deux preuves sont l'apanage du féminisme judiciaire, peut-être devraient-ils investiguer l'ADN humain et le traitement à deux vitesses qu'on lui réserve en cours.
Si on trouve l'ADN d'une femme dans un rejeton (ou dans une masse de chair humaine dans les poubelles d'une clinique d'avortement)... rien. C'est son droit de choisir et la loi ne prévoit rien pour son acquittement de ses"responsabilités".
Si on trouve celle d'un homme- ou même d'un gamin- cependant, voiçi la voix de la "justice"...
Si on trouve l'ADN d'une femme dans un rejeton (ou dans une masse de chair humaine dans les poubelles d'une clinique d'avortement)... rien. C'est son droit de choisir et la loi ne prévoit rien pour son acquittement de ses"responsabilités".
Si on trouve celle d'un homme- ou même d'un gamin- cependant, voiçi la voix de la "justice"...
Ahurissant ! Comment se fait-il que l'on entende pas parler de pareilles aberrations dans les médias ? Je n'en reviens pas ! Il serait intéressant d'en savoir plus long.
RépondreSupprimerLes média sont en majeure partie rompue aux adages féministes et participent activement à la campagne de haine contre les hommes. Parler de femmes violeuses, montrer un homme victimisé par leur idéologie chérie, relever des abus judiciaires évidents ne sont pas dans leur intérêt alors c'est le silence.
RépondreSupprimerAjoutez à celà une masse de recherchistes femmes qui censurent courriels, courriers et opinions, comme j'en si souvent eu l'expérience à Radio-Canada, à la CBC et à La Presse et nous avons là une parfaite recette pour un silence tonitruant.
Vive les média alternatifs!
Eh ouais les mecs, voilà pourquoi je préfère travailler avec des mecs et très peu de femme, ça sent le complt à plein nez
RépondreSupprimerJ'ai moi aussi fait l'expérience de la censure féministe dans les médias à plusieurs reprises. Juste pour avoir questionné la partialité ou la misandrie d'une émission ou d'un article. J'ai eu droit à des réponses (quand j'en ai eu) qui ne furent que condécendances et mépris. Je leur aurrait écrit des insultes j'aurrait eu droit au même traitement.
RépondreSupprimerLa seul façon d'avoir accès à une information juste, non-partial, non-manipulé et équilibré est d'aller la chercher sur internet et de faire soi-même la vérifications des faits.
Des histoires comme celle de ce jeune garçon là ne sont pas rare. J'ai personnellement eu connaissance d'une prof dans la belle province qui avait abuser sexuellement d'un jeune garçon de 8 ans. La première fois, la cours lui à donner un avertissement! "Faites pas ça madame" et elle a repris sont poste à l'école!!! Un an après récidive avec le même petit garçon. Bon, on ce dit isl vont la mettre en dedans la pédophile cette fois-ci, ben non. Il se sont contenté de la bannir de l'enseignement! Pas un mot dans les médias silence total. C'est d'ailleurs là que j'ai réalisé qu'il y avait quelque chose de pourri au royaume du Québec.
trop fort!des femmes qui violent des hommes. C'est notre revanche sur le sexe soit disant "fort".
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