vendredi 11 mars 2011

Un juge refuse d'incarcérer une femme reconnue coupable de viol statutaire sur un gamin de 15 ans

http://www.dailymail.co.uk/news/article-1363858/Teacher-Leah-Davies-29-sex-schoolboy-15-spared-jail-judge.html#ixzz1G8m0fuJW


  Dans un autre superbe exemple de justice à deux vitesses, un juge anglais refuse d'incarcérer une professeure reconnue coupable "d'activités sexuelles" avec un de ses étudiants de 15 ans.
   Quelques faits intéressants içi. Tout d'âbord, notons l'absence d'une condamnation sous la charge de VIOL STATUTAIRE- ce qui est le cas puisque la dame occupe effectivement une position d'autorité sur le jeune homme, que ce dernier est un mineur et qu'une relation sexuelle complète s'est déroulée entre les deux. Il n'en faut pas plus, aux termes de la loi, pour décrire un viol statutaire.
  Que l'enfant ait été consentant ou non ne change rien à la chose puisque le jeune homme (15 ans) n'a pas l'âge légal de consentement.
  Rappelons que l'âge de consentement est de 16 ans pour des relations sexuelles "normales" et de 18 ans pour des relations sexuelles statutaires (profs, entraineurs, gardiennes, etc...)
  On comprends aisément pourquoi la justice ne souhaitait pas l'accuser de ce crime puisque
"The new laws have established 10 year minimum sentences for individuals who commit statutory rape if:
 - The child is between 12-16 and the offender is more than 10 years older than the victim"
  On préféra plutot l'accuser d'un moindre crime, même si la dame rencontrait tous les critères du viol statutaire, et lui donner une sentence suspendue de... 12 mois!
  Autre fait intéressant: la dame à saouler le gamin avec de la vodka avant de passer à l'acte, ce qui n'a pas empêcher le juge de déclarer que la dame était une femme "décente et honnête" (sic!).
  Troisième et dernier point d'intérêt, le juge a transféré une grande partie du blâme vers le gamin en insistant sur le fait que c'est lui qui avait initié l'acte en touchant l'accusée le premier (une fois saoulé, ne l'oublions pas).
  Bref, la violeuse est maintenant "victime" des avances du gamin!
 Imaginez un peu la tolée si une gamine de quinze ans s'était fait pénétrée par son prof de 30 ans une fois que celui-ci l'eut bien beurrée de vodka et que le juge lui dise "T'avais qu'a pas le toucher!"
  Deux poids, deux mesures, deux vitesses, deux justices.

  Pour les femmes, c'est le pussypass et pour les hommes, c'est du 10 ans minimum.
Pas de justice pour les porcs

3 commentaires:

  1. Tout juste aberrant.
    Et après elles nous tannent avec une certaine égalité pfff.
    Stait mieux avant quand les gonzesses étaient aux fourneaux et au ménage,y'en a marre de ces vagins ambulants

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  2. Si seulement pareille divagation était exceptionnelle. Malheureusement, ce genre de verdict imbécile semble la règle. De nombreux cas similaires ont été rapportés sans que la "Justice" ne rectifie le tir.

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  3. Un fait troublant que j'ai ommis de mentionner mais qui indique bien le pauvre statut qu'à le gamin dans cette cour est lorsque le juge se réfère à lui comme "Le plaignant, si même on puit l'appeler ainsi..."
    Jamais un juge ne se serait permit une telle condescendence evers une adolescente de quinze ans. Jamais.

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